mercredi 3 décembre 2008

Les États-Unis en mode 2.0 | Internet

Agence France-Presse
02 décembre 2008 | 10 h 10 | 1 commentaire


Les États-Unis utilisent les réseaux sociaux et d'autres outils du web 2.0 pour remporter la «bataille d'idées» avec les militants islamistes et d'autres groupes extrémistes, a indiqué lundi le secrétaire d'Etat adjoint chargé d'améliorer l'image du pays dans le monde.
Pour en savoir plus
Facebook | George W. Bush | Mahmoud Ahmadinejad | Web 2.0

«Dans la bataille des idées, notre mission clé en 2008 est de créer un environnement hostile à l'extrémisme violent», a expliqué James Glassman au cours d'un discours à la New America Foundation, un centre de réflexion basé à Washington.

«Nous appelons notre nouvelle approche la diplomatie publique 2.0», a ajouté l'ancien journaliste qui a remplacé Karen Hughes, proche de George W. Bush, après sa démission l'an dernier de son poste de conseiller chargé de la diplomatie publique.

«Al-Qaïda et d'autres organisations extrémistes violentes ont exploité internet à leur avantage, mais cet avantage a rapidement diminué», a-t-il dit, ajoutant que «les nouvelles technologies donnent au États-Unis un avantage sérieux sur les terroristes».

«Dans ce nouveau monde de communications, tout gouvernement qui résiste aux nouvelles technologies sur internet fait face à un risque plus grand - celui d'être ignoré», a poursuivi M. Glassman.

«Nos principales cibles, en particulier les jeunes, ne veulent pas qu'on leur fasse la leçon, qu'on leur dise quoi penser ou à quel point nous sommes merveilleux», a-t-il expliqué.

Selon lui, le département d'État et d'autre agences gouvernementales multiplient par conséquent les efforts pour avoir une interaction avec le public.

Le bureau des affaires éducatives et culturelles du département d'Etat a notamment une page sur le site de socialisation en ligne Facebook, et «notre équipe de sensibilisation numérique va sur des blogs et des sites en arabe, farsi, ourdou et bientôt nous l'espérons en russe».

«Ses membres s'identifient comme des représentants du département d'État et entament la conversation, informent gentiment ou corrigent les distorsions concernant les politiques américaines», a indiqué le secrétaire d'État adjoint.

Il a raconté notamment que le blogueur en farsi du département d'Etat avait récemment publié une série de messages sur le blogue du conseiller média du président iranien Mahmoud Ahmadinejad.

Il a également indiqué que le département d'État avait co-sponsorisé récemment un concours de vidéos sur Youtube au cours duquel les participants étaient invités à répondre à la question: «qu'est-ce que la démocratie?».

M. Glassman a ajouté que l'administration américaine allait renforcer ses partenariats avec le secteur privé, citant comme exemple une conférence qui doit réunir cette semaine à New York des groupes de jeunes internautes du monde entier.

Alain Mc Kenna : Un avenir difficile pour le web 2.0 | Internet

Alain Mc Kenna, La Presse
03 décembre 2008 | 08 h 16 | 1 commentaire


La crise économique américaine commence à affecter sérieusement les entreprises du web, au point où même des services assez importants, comme Twitter, sont menacés. Et ce n'est qu'un début: les mois à venir s'annoncent encore plus difficiles pour ce secteur technologique grandement tributaire de la publicité en ligne et du financement en capital-risque.
Pour en savoir plus
eBay | Facebook | Google | Yahoo! | Réseautage social | Web 2.0

C'est ce que laissent entendre, à l'unanimité, les analystes qui suivent de près l'évolution de la publicité dans les médias et sur l'internet, puisque ces dernières semaines, ils ont tous revu leurs prévisions à la baisse. À commencer par eMarketer, dont l'estimation des dépenses nord-américaines pour la publicité sur l'internet en 2009 a été revue à la baisse, passant de 30 milliards US à 25,7 milliards. Ce ralentissement ira jusqu'en 2012, avertissent ses analystes, qui voient la croissance des quatre prochaines années amputée de 25% environ.



Le groupe financier UBS va un peu plus loin dans ces analyses, précisant que cette réduction des dépenses publicitaires affectera davantage les entreprises qui ont plus de difficulté à comptabiliser et à traduire en chiffres bien précis l'impact de la publicité qu'ils affichent. Conclusion: même des sociétés web importantes comme eBay et Yahoo! pourraient s'en sortir difficilement, estime-t-on chez UBS. Google s'en tirera mieux, grâce à sa formule de publicité mesurable, ciblée en fonction des recherches lancées par les internautes sur sa page d'accueil.

Le Canada n'échappera pas à cette tendance, mais la croissance devrait être au rendez-vous, pense Patrick Pierra, coprésident et chef de la direction du portail d'information Branchez-vous. «Le marché publicitaire en général va souffrir» explique-t-il, mais pour le moment, on ne table pas sur une contraction du marché publicitaire en ligne.»

M. Pierra ajoute que, par rapport aux médias traditionnels, l'internet a l'avantage d'être plus abordable, tout en permettant de bien cibler les clients potentiels. «Ça aurait été plus difficile il y a huit ou neuf ans, alors que la publicité en ligne était un phénomène encore naissant, dit-il. Aujourd'hui, nous avons un ciblage comportemental assez efficace, et ce qui est mesurable pourrait s'en sortir encore mieux.»

Les petites touchées

De tout ce qui vit sur l'internet, ce sont probablement les sites faisant dans le Web 2.0 qui risquent de souffrir le plus. Surtout ceux qui n'ont pas prévu de rentabiliser rapidement leurs opérations, avertit Ben Yoskovitz, fondateur du site de recrutement en ligne StandoutJobs. «C'est un défi pour toutes les startups (entreprise en démarrage), surtout si leur modèle d'affaires n'est pas déjà bien défini et que les revenus n'entreront pas avant les six ou sept prochains mois.»

«Avec tous ces gens qui perdent leur emploi, les temps sont surtout durs pour les réseaux sociaux», continue l'entrepreneur montréalais. «Très peu de ces sites sont une nécessité. Twitter est un bon exemple.» Twitter, un service de microblogues qui tarde à se développer au-delà de la sphère des early «adopteurs», peine en effet à générer des revenus dignes de sa base d'utilisateurs, ce qui commence à inquiéter les analystes. On pourrait ajouter des sites comme Facebook à ces sites qui vivent encore principalement d'investissements privés.

C'est ce qui fait croire à Ben Yoskovitz qu'encore une fois, ce sont les plus petites entreprises qui vont subir les contrecoups de cette situation. Les investisseurs qui ont déjà placé leurs sous dans des sites de la stature de Twitter ou Facebook ne voudront pas les voir disparaître et seront plus enclins à réinvestir, au lieu de chercher à lancer de nouveaux services. «Il y a moins d'argent pour les nouvelles entreprises, et les attentes sont de plus en plus élevées, dit-il. Ce n'est pas le meilleur moment pour lancer un nouveau site Web 2.0.

lundi 27 octobre 2008

Quand l'innovation pallie le manque de ressources - CEFRIO

Les technologies de l’information (TI) évoluent rapidement, tout comme les pratiques dans le milieu de la santé. Dans un secteur comme dans l’autre, l’émergence des nouveaux usages technologiques se chevauche à un point tel qu’il est dorénavant question de santé 2.0.

Les applications associées au Web 2.0 – tels les réseaux sociaux, les blogues, les fils RSS, les wikis - ont favorisé le développement de nouvelles pratiques sur Internet dans le domaine de la santé. On retrouve, entre autres, la santé 2.0 qui réfère à l’utilisation des applications du Web 2.0 pour promouvoir la collaboration entre les patients, les médecins, le personnel médical et les autres partenaires impliqués dans les soins de santé. Du point de vue des internautes, il apparaît évident qu’Internet est devenu un outil privilégié pour s’informer. Entre janvier 2007 et janvier 2008, une enquête menée par l’Institut Fraser a démontré que 59 % des adultes américains ont utilisé Internet pour s’informer sur la santé. De plus, au cours des douze mois précédant décembre 2007, 21 % des adultes américains ont visité Wikipédia à cette fin selon une enquête menée par iCrossing. Encore plus près de nous, selon l’enquête NETendances 2007 réalisée par le CEFRIO, c’est 36 % des adultes québécois qui ont cherché des renseignements sur la santé. Mais, qu’en est-il de l’intérêt des professionnels de la santé pour les nouveaux outils Web ? James Sarowiecki, auteur du livre The Wisdom of crowds, présente les applications du Web 2.0 comme des outils permettant de profiter d’une intelligence collective. La grande question est donc de savoir si les membres du corps médical pourront tirer des bénéfices des retombées d’un tel partage des connaissances.

Les praticiens 2.0
La ville de Toronto présentait en septembre dernier la Conférence annuelle sur les applications du Web 2.0 en santé et en médecine. À cette occasion, le prix du « médecin 2.0 » a été décerné au Dr Keith Kaplan de la clinique américaine Mayo. Cet honneur vise à souligner son implication exemplaire en tant que blogueur expert en pathologie numérique. Ce qui démarque son travail de celui des autres praticiens blogueurs : une collection d’images histologiques mise en ligne et alimentée par lui-même, bien sûr, mais aussi par la communauté. En favorisant un partage des connaissances, tant au sein de sa communauté de pairs, qu’avec les étudiants et les patients, le Dr Keith Kaplan applique les principes de la santé 2.0.

Le patient 2.0
En complémentarité au médecin 2.0 se trouve le patient 2.0 qui, pour tirer avantage efficacement et de façon sécuritaire des avenues du Web 2.0, doit pouvoir compter sur l’appui des praticiens. Prenons l’exemple de la nouvelle relation établie entre le soignant et le soigné à travers l’autosuivi (self-monitoring) par Internet. Dans le contexte où il existe une pénurie en matière de médecins de famille, de spécialistes ainsi qu’une difficulté à obtenir des rendez-vous dans de courts délais, l’autosuivi offre une alternative intéressante aux patients qui souhaitent obtenir un suivi rigoureux de leur état de santé en suivant eux-mêmes l’évolution de leur pathologie.

Déjà, de nombreux outils de suivi des maladies sont passés des établissements de santé aux domiciles des patients : les glucomètres, les instruments de mesures de la pression sanguine ou de la BPCO (Broncho pneumopathie chronique obstructive), etc. Le Web 2.0 permet de pousser encore plus loin cette désinstitutionnalisation de certains suivis médicaux. L’effet d’engouement pour l’autosuivi concorde avec l’un des principes fondamentaux du Web 2.0 : la participation. Ici, il s’agit du désir du patient de prendre en main sa santé et de participer à son suivi médical en documentant par lui-même son état de santé. Par ailleurs, les patients pratiquant l’autosuivi le font parce que leur médecin l’a recommandé (69 %) et parce qu’ils peuvent transférer l’information recueillie à leur praticien par le biais d’Internet (69 %), rapporte une enquête réalisée en 2008 aux États-Unis par Deloitte. Par contre, pour s’étendre à une échelle plus large, ces nouvelles pratiques posent des défis quant à la gestion des informations recueillies : la transmission et la conservation des données par le Web, l’accès au dossier de santé électronique, etc.

Le Web 2.0 en réponse aux lacunes du système actuel ?
Récemment publiée, l’étude Medical technology in Canada présente l’évaluation de la qualité et de la quantité des équipements de technologies médicales avancées au Canada. Le bilan tracé par cette analyse comparative est préoccupant. Il apparaît que le Canada est en retard en termes d’adoption des technologies médicales avancées par rapport à ce qui est disponible dans les autres pays développés. En plus de disposer de moins d’équipements et d’appareils parfois désuets, les établissements de santé canadiens déploient lentement et exploitent peu leurs technologies médicales avancées. Par conséquent, les Canadiens disposent d’un accès restreint aux technologies médicales pour leurs soins, réduisant entre autres la qualité des diagnostics ainsi que l’efficacité et la rapidité des traitements. Dans cet ordre d’idées, il est intéressant de s’attarder à l’utilisation que font les professionnels de la santé des technologies de l’information (TI), d’Internet et du Web 2.0. Certes, les TI et Internet ne remplaceront pas les appareils technologiques de diagnostics et de traitements. Par contre, les outils disponibles en ligne à peu de frais peuvent offrir un véhicule efficace et souple afin d’assurer une circulation fluide de l’information entre une diversité d’acteurs qui, mis ensemble, peuvent élaborer des solutions innovantes améliorant le système de santé actuel.

Sources :
Canada slow to adopt new medical technologies, Canadian healthcare technology, septembre 2008.

Elkin Noah, How america searches: health and wellness, iCrossing, janvier 2008.

Esmail Nadeem, Dominika Wrona, Medical technology in Canada, Fraser Institute, août 2008, 101 p.

Kaplan, Keith, Digital pathology blog

Many U.S. Consumers Want Major Changes in Health Care Design, Delivery, Deloitte, 2008.

Medecine 2.0

NETendances 2007, CEFRIO, mars 2008, 118 p.

Sylber, Denise, Médecine 2.0 Toronto - Prix du "Médecin 2.0", blogue, 5 septembre 2008.

What's the buzz about Self-Monitoring?, Canadian EMR, 28 août 2008.
Date de publication
21 octobre 2008
Auteur(s)

Sophie Poudrier, analyste-conseil, CEFRIO

L'e-administration doit se préparer à la révolution du web 2.0 - Localtis.info

publié le 17 octobre 2008

"La politique en ligne est devenue courante dans de nombreux pays : le Brésil a généralisé le vote électronique, des assemblées comme celle du Minnesota par exemple permettent à leurs citoyens de participer aux débats en temps réel, des pétitions électroniques vont directement dans les boites aux lettres électroniques du gouvernement britannique, les réseaux sociaux se transforment en permanences de partis politiques et les citoyens deviennent de plus en plus mobiles", a constaté André Santini, maire et désormais secrétaire d'Etat à la fonction publique en introduction du 9e Forum mondial e-Démocratie, les 16 et 17 octobre à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine).
Ce rendez-vous annuel rassemble, depuis 2000, un réseau international d'acteurs publics et privés, politiques et associatifs soucieux de mesurer l'impact de la révolution numérique sur les sociétés démocratiques. Cette année encore, plus d'une soixantaine d'intervenants, représentant seize nationalités différentes, y ont abordé la modernisation des services publics, le développement de la participation des citoyens à la vie publique, la réduction de la fracture numérique, le rôle des TIC au service de la très haute qualité environnementale... Le maire d'Issy a profité de la tribune pour présenter les avancées de sa ville en la matière : 75 à 80% de la population connectée, 100.000 visites mensuelles sur le site municipal, première équipe française de football ayant choisi d'être coachée par des internautes, une des rares villes françaises présentes sur Second Life et sur Facebook (l'élu s'est réjoui de son millier d'amis), généralisation en cours du paiement du stationnement par téléphone mobile, création prochaine par Microsoft d'un centre de recherche européen...

L'e-administration a rendez-vous avec les "digital natives"

Selon une étude d'Eurostat, près de 80% des jeunes de 16 à 24 ans des 27 pays de l'Union européenne ont surfé sur l'internet au moins une fois par semaine l'an dernier. "Ils sont même 98% en Finlande", a témoigné Suvi Lindén, ministre des Communications de ce pays. C'est pour cette génération des "digital natives" que les administrations, qui se modernisent depuis une dizaine d'années avec la mise en ligne des procédures et démarches, vont vivre une deuxième révolution, celle du web 2.0. Cette évolution de l'internet offre notamment aux internautes des outils simples de publication et de collaboration. "Jusqu'à présent, nous devons bien l'avouer, la conception des services publics électroniques a davantage été guidée par la réduction des coûts que par la préoccupation d'y faire participer les usagers", a reconnu le secrétaire d'Etat. Comment imaginer associer concrètement les citoyens dans l'offre de services publics électroniques ? Les enquêtes en ligne comme celles du panel citoyen d'Issy, les essais de budgets participatifs de Hambourg ou Manchester, les processus d'élaboration de décisions collectives comme pour l'exercice de prospective "France 2025" avec l'aide de l'outil de parlement virtuel Socracy semblent être les prémices de cet e-gouvernement 2.0.

Luc Derriano / EVS

mardi 21 octobre 2008

La télé en ligne prend un virage social sur CBS - Actualité techno - Internet

Le réseau de télévision CBS inaugure ses salles de visionnement en ligne où plusieurs internautes peuvent simultanément regarder leurs émissions favorites et échanger entre eux.

Les amateurs de Survivor ou de CSI, peuvent désormais regarder des épisodes de leurs séries préférées dans les nouvelles salles de visionnement virtuelles de CBS en compagnie d'autres utilisateurs. Les utilisateurs du service Social Viewing Room, doivent au préalable s'inscrire gratuitement sur le site de CBS pour obtenir l'accès aux salles.

Une fois inscrit, l'internaute a le choix entre différentes émissions diffusées dans un lecteur interactif. Au cours du visionnement, l'internaute peut voir les autres utilisateurs en ligne, clavarder avec eux, répondre à des questionnaires et interagir virtuellement avec l'émission en cours. Des applications permettent notamment d'envoyer des tomates ou des baisers à l'écran.

«Regarder des vidéos en ligne est une expérience très solitaire», a déclaré le vice-président des services interactif de CBS, Anthony Soohoo à Hollywood Reporter. «Le service Social Viewing Room est une plateforme média de nouvelle génération qui permet aux utilisateurs de partager un contenu en ligne d'une façon amusante» ajoute Soohoo.

Le réseau ABC en partenariat avec Lycos a lui aussi offert récemment des visionnements collectifs pour des épisodes des séries Wildfire et The Secret Life of the American Teenager.
par Marc-André Brouillard

vendredi 17 octobre 2008

Entreprise 2.0 : Jamespot et Yoolink en versions pro par Neteco.com

* Publié par Jérôme Bouteiller le Jeudi 16 Octobre 2008 | envoyer | commenter
Le Web 2.0 grand public ayant du plomb dans l'aile, deux spécialistes du partage d'information viennent d'annoncer simultanément le lancement de leurs versions professionnelles... pour « l'entreprise 2.0 »

jamespot
Après son site Jamespot.com, destiné au grand public, la société Jamespot annonce ainsi le lancement de Jamespot.pro, un service disponible en mode hébergé (company.jamespot.pro) et permettant aux entreprises « de dynamiser leur intranet en proposant aux employés de sélectionner le meilleur de l'Intranet et du Web pour le partager avec leurs communautés professionnelles. « La génération Y démontre que les nouvelles pratiques du Web2.0 sont transposables et maintenant attendues dans l'entreprise pour apporter simplicité, dynamisme et agilité. Jamespot.com a démontré auprès du grand public la pertinence de partager l'information en un clic, sans obligation de rédaction (blog ou Wiki). Jamespot.pro est l'équilibre entre la volonté de produire du contenu de valeur et le manque de temps endémique au monde de l'entreprise » explique Alain Garnier, créateur de la société.

yoolink
Même analyse chez son concurrent YooLink qui s'appuie sur l'expertise acquise avec YooLink.fr pour lancer la semaine prochaine son « YooLink Pro », un service Web 2.0 permettant également aux collaborateurs d'une entreprise de sélectionner et de partager du contenu afin de construire une base de connaissance. « L'entreprise est le premier réseau social. Avec Yoolink c'est la gestion des connaissances et l'entreprise qui s'humanisent. » explique Sunny PARIS, ancien directeur R&D de Weborama, désormais aux commandes de Yoolink.

Bref, deux nouveaux services qui devraient entrer en concurrence avec Bluekiwi, l'un des pionniers d'un segment qui intéresse également les grands noms du progiciel de messagerie ou de l'ECM, l'Enterprise Content Management.

Pour aller plus loin
26/08 * YooLink se lance à l’assaut du marché U.S.
17/06 * Alain Garnier : « Jamespot se différencie des autres outils de bookmarking social »
05/06 * YooLink lève un demi million d’euros
11/10 * Carlos DIAZ : "BlueKiwi est un leader de l'Enterprise Social Software"

Les actualités précédentes - Social Web
16/10 * Ebay revoit ses prévisions trimestrielles à la baisse
16/10 * Obama fait campagne sur XBox Live
16/10 * Facebook héberge 10 milliards de photos

mercredi 8 octobre 2008

Les digital natives inventent le web qui leur ressemble | Cluster21 : la communauté du digital, des médias à la e-démocratie...

Comment rejoindre mieux une génération Y ? En se servant d'outils qui lui ressemblent. (JMR)
(article original sur http://www.cluster21.com/blog/christophe_deschamps/les_digital_natives_inventent_le_web_qui_leur_ressemble)

Dans l'entreprise l'arrivée de la vague Web 2.0 commence à bousculer les habitudes et l'on pourrait presque s'étonner d'une telle convergence entre les attentes des digital natives et les promesses d'autonomisation, de décentralisation, de transversalité, de travail en réseau portées par ces nouveaux services. Rien que de très normal pourtant.
Si l'on examine par exemple les quatres services emblématiques du web 2.0 que sont del.icio.us, le service de partage de favoris qui a rendu populaires les folksonomies, Flickr, qui permet de partager ses photographies de manière originale, Youtube qui fait la même chose pour les fichiers videos et Bloglines, le service d'agrégation de flux RSS, que voit-on ? Que le premier a été lancé par Joshua Schachter (né en 1974), le second par Stewart Butterfield (1973), le troisième par Chad Hurley (1977) et le dernier par Mark Fletcher (1970). Tous développeurs et entrepreneurs du web issus de la dernière tranche de la Génération X et digital natives de la première heure, comme ils se plaisent à le rappeller. Ce qui nous fait dire qu'il y a là quelquechose d'endogène : ces personnes ont tout simplement créé les services dont elles avaient besoin ! C'est d'ailleurs très clair pour Joshua Schachter qui explique : « J'ai originellement créé Muxway (nom initial de del.icio.us) pour gérer mes propres signets. Avant même qu'il y ait un système, j'avais écrit quelques lignes de notes codées dans un fichier plat que j'utilisai pour mes liens, #wifi, #cs ou autre chose. Et je pouvais ensuite les rechercher, ainsi le « tagging » est clairement antérieur à del.icio.us".
En allant plus loin on pourrait dire que ces développeurs ont créé des services qui leur ressemblent naturellement, sans même en avoir conscience. En effet, nombre de leurs caractéristiques reflètent globalement celles que Marc Prensky prête aux digital natives (en gras) :

* Moins hiérarchisés / moins linéaires / plus intuitifs : les systèmes de tags de del.icio.us, Flickr ou YouTube permettent de classer un même item dans plusieurs catégories à la fois mais aussi de naviguer en « sautant » de tags en tags.
* Accélérateurs d'information via les flux RSS qu'ils produisent (del.icio.us, Flickr, YouTube) ou permettent de lire (Bloglines) et les possibilités de mise en réseau.
* Graphiques plutôt que textuels, car même si ces services ne sont pas de bons exemples (pour l'instant), on peut citer l'importance prise par les outils de mind mapping en ligne (1 en 2006, au moins 8 en 2007), ou par ceux qui permettent de représenter graphiquement des séries statistiques.
* Collaboratifs car ils permettent la constitution de réseaux ou de communautés de manière plus ou moins explicite : del.icio.us permet de partager ses favoris avec tous ou avec un réseau de personnes identifiées. Idem pour Flickr et Youtube.
* Rapidement gratifiants puisqu'on voit instantanément en front-office les résultats d'une action menée en back : publication d'un favori, d'une photo ou d'une vidéo, agrégation d'un fil RSS.
* Ludiques dans leur utilisation mais supportant des activités professionnelles (et notamment la veille grâce aux flux RSS).

Il faut donc considérer ces services à la fois comme les compléments, les supports et les résultats des processus mentaux de leurs créateurs. Des processus mentaux propres à cette génération née dans les années soixante-dix et imprégnée d'un certain nombre d'éléments socio-technologico-historiques l'ayant amené à envisager des réponses innovantes aux questions déjà traitées par la précédente.

De tout cela il est possible d'affirmer que le web 2.0 n'est pas un phénomène de mode mais le « produit » de toute une génération. La dernière tranche de la génération X l'a fait naître spontanément et sans concertation, les suivantes l'utilisent, le portent et l'amélioreront jusqu'à ce qu'un nouveau paradigme soit atteint et que l'on puisse célébrer l'avènement d'un éventuel web 3.0.

Marc Prensky, On the Horizon, NCB University Press, Vol. 9, No. 5, Octobre 2001.

mardi 7 octobre 2008

Essayer Linux simplement avec Slax - Logiciels - Utilitaires

Ça y est: vous êtes prêt à faire le saut et à essayer Linux. Ou presque. Préféreriez-vous faire des petits pas? Essayez Slax: une distribution Linux qui tourne à partir d'une clé USB.

Slax ne fait pas tout à fait 200mb, mais, pourtant, contient tout ce dont vous aurez besoin pour un usage quotidien.

Disponible en français, Slax peut être téléchargé en deux versions. La première, un fichier ISO, est destinée à la gravure sur CD. Il ne suffit que de la graver, puis de redémarrer votre ordinateur pour exécuter Slax. La seconde version, quant à elle, est destinée aux clés USB et autres périphériques portables. Pour l'utiliser, on n'a qu'à décompresser une archive, exécuter un programme, redémarrer son ordinateur, et hop!

Slax est évidemment gratuit.

Plus d'informations sur le site de Slax

mardi 23 septembre 2008

À QUAND LE MAGASINAGE SOCIAL (SOCIAL SHOPPING) AU QUéBEC ? - BLOGUE sur le référencement, blog, À quand le magasinage social (social shopping) au Québec ? - conseil

Considérée comme la 2ième étape de l’évolution des réseaux sociaux, le magasinage social (social shopping) a un potentiel énorme ! En effet, on compte à ce jour selon le magazine Direction informatique de juin 2008, 100 000 réseaux sociaux de par le monde desservant plus de 350 millions d’utilisateurs.

Mais qu’est-ce que le magasinage social ? On peut définir le magasinage social (social shopping) comme l’établissement de réseaux planétaires de consommateurs qui se réfèrent des aubaines et s’échangent des conseils de consommation. C’est donc une expérience qui combine les deux activités préférées des internautes après la « recherche sur les moteurs », c’est-à-dire le magasinage et le réseautage.

Le « social shopping » est définitivement une nouvelle catégorie de e-commerce. On le retrouve donc principalement aux États-Unis. Parmi les sites les plus populaires notons Kaboodle.com, Wits.com et StyleHive.com qui se spécialise dans la mode féminine.


Au Québec, OneBigPlanet, une entreprise de Montréal, offre une solution adaptée à la clientèle corporative en offrant sa plateforme de commerce et de fidélisation aux associations et aux organisations. Ces dernières offrent à leur tour le service à leurs membres. On a donc une valeur ajoutée qui semble plaire beaucoup. Malheureusement pour nous, l’entreprise n’offre pas encore le service en français au Québec.

Il n’en reste pas moins que l’outil est intéressant car il permet à l’utilisateur d’avoir les meilleures aubaines qui correspondent à son profil et ce, en temps réel. Un logiciel de « business intelligence » enrichit le profil du membre au fur à mesure de ses habitudes de navigation sur le portail.

Du point de vue du référenceur (SEO), les outils de Web 2.0 restent toujours intéressants à explorer. Bien sûr, dans le cas de plateforme comme OneBigPlanet c’est l’effet de longue traîne (long tail) plus que le référencement dynamique qui nous attire, car le volume aidant, cela constituerait certainement une variante atypique sur des niches spécialisées. Je pense à des comparatifs avec des cas d’école comme Ebay largement décrit par Chris Anderson.


D’ailleurs, en terminant, il est bon de se rappeler que le magasinage social est vraiment pris au sérieux par les joueurs majeurs d’Internet. A titre d’exemple rappelons-nous simplement le lancement par Ebay en octobre 2007 sous l’appellation « ebay Neighborhoods » de près de 600 micro-réseaux sociaux destinés à capter au bond cette tendance forte.

vendredi 12 septembre 2008

Bibliobsession 2.0 » EXIGEONS de nos prestataires des fonctionnalités 2.0 sur nos OPAC!

Parce que c’est nous, bibliothécaires, qui devons dire à nos prestataires ce que nous voulons et surtout pas l’inverse, parce qu’ils ont des intérêts commerciaux à nous vendre du “2.0 propriétaire”, à réinventer la poudre en fournissant des CMS fermés ou à aller tellement lentement qu’ils contribuent largement à renforcer l’inertie de nos organisations, je relaie ici l’excellente idée de Laurent de Jvbib cet été.

Participez sur Bibliopedia, le wikipedia de la bibliosphère, à l’élaboration collective du cahier des charges du site de bibliothèque et de l’opac de vos rêves!

L’idée de cette page est de recenser tout ce qu’on attend aujourd’hui d’un site de bibliothèque, et en particulier de la partie opac. On peut bien sûr se baser sur ce qui existe déjà, mais sans s’y limiter.

Quelques exemples d’idées pour l’instant :

* Sous chaque document peuvent s’afficher les avis et chroniques publiés sur d’autres sites (amazon/allociné, autres bibliothèques)
* C’est l’utilisateur qui choisit parmi celles proposées quelles sources il souhaite afficher sous les notices.
* Chaque notice dispose d’une url fixe , et lisible
* Chaque exemplaire dispose d’un flux RSS sur son état

TrixieTracker : le bébé 2.0 | InternetActu.net

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TrixieTracker : le bébé 2.0

Par Hubert Guillaud le 10/09/08 | 5 commentaires | Page vue 652 fois

exemple de données recueillies sur un enfant avec Trixie TrackerJill Walker, professeur à l’université de Bergen en Norvège, chercheuse au Département de Linguistique, littérature et études esthétiques, auteur de Blogger, un livre qui analyse le phénomène, et blogueuse, concentre ses dernières recherches sur sur la façon dont les gens racontent des histoires en ligne. Jeune maman depuis quelques mois, elle vient de s’inscrire à TrixieTracker, un calendrier en ligne pour surveiller le comportement de son bébé qui permet de noter la durée de ses plages de sommeil, son alimentation, son développement… Et bien sûr, de les comparer avec les données en provenance des parents d’autres bébés.

Cela ne fait pas suffisamment longtemps qu’elle utilise le système pour qu’il soit parlant, mais pour des parents qui l’utilisent depuis plus longtemps, comme les parents d’Izzy (voire les données récoltées sur l’enfant), ces nouvelles statistiques sur la vie de son enfant apportent leur lot de nouvelles informations. Elles parviennent même à répondre à des questions que l’inquiétude fait naître : cette mère, qui a utilisé le service pendant un an s’en est ainsi servi pour avoir un sentiment de contrôle sur le développement de son enfant, même si celui-ci n’a jamais eu d’activités régulières dans son emploi du temps, par rapport à de nombreux autres enfants qui dorment et mangent à heures fixes.

L’auteur de Parentonomics, Joshua Gans (blog), qui tente d’appliquer des théories économiques à l’éducation de ses enfants, appelle ce type données que les parents compilent des données orientées par la parentalité de comportement une parentalité orientée par les données. TrixieTracker semble en tout cas un exemple assez parlant des nouveaux types de données que l’utilisation massive du web va faire émerger.

Simply Books - simply Web 2.0 « HeyJude

Simply Books - simply Web 2.0

Since I first started blogging back in 2006, and following the thought leaders in Web 2.0 in education and libraries, I have also tried to encourage school libraries and teacher librarians to become leaders who develop a Creative approach to Web 2.0 Learning.

From very early on I have been inspired in Library 2.0 thinking by Michael Stephens, Joyce Valenza, Kathryn Greenhill, and our own teacher librarians, like Jenny Luca, Frances Manning, and all the other wonderful thought leaders listed in my Lib Bloggers collection.

So back in my own school after my stint as Education Consultant, it was time for me to roll up my sleeves and and get on with it.

As part of our National Literacy and Numeracy week activities, we launched our own Simply Books Website!

With the help of our Second Life friend and fab consultant Jo Kay, we have a very Web 2.0 online presence which is actually blogs, wiki, and much more - branded for St Joseph’s College.

Our focus is to promote reading and good literature, as well as providing links and information about quality approaches to boys reading education!

By sharing our passion for books and reading, it is our mission is to transform boys into lifelong readers.

Simply Books blog promotes our library’s work! Students Say blog promotes the kids work! Simply Books Wiki stores information, promotes our main activities, and will also be the home of our online Readers Club so that parents can join in with book discussions - lots of our families are anywhere but in Sydney as we are a boarding school!

Best of all, we are blending lots of Web 2.0 tools - Flickr, Delicious, Twitter are active and linked to the site - soon to be added is our own SimplyBooks YouTube channel with our first video. Our Library Thing site is still to be developed to promote best reads (easier than sending out reading lists) and much more.

This is the beginning - and our hope is that Simply Books will grow in scope and interactivity in the coming year!!!

jeudi 11 septembre 2008

Savoir exploiter les réseaux sociaux

10/09/2008 - Bien que l'utilité des réseaux sociaux ne soulève plus beaucoup de doutes, les entreprises doivent encore apprendre à en tirer le plein potentiel.

L'avènement des réseaux sociaux dans le monde du travail est annoncé depuis quelque temps déjà. L'année dernière encore, on répétait que 2007 allait marquer le début d'une ère nouvelle en ce sens.

L'immense popularité des communautés en ligne dans la population en général – à lui seul, le site Facebook compterait 8 millions d'adeptes au Canada et 600 000 au Québec – a laissé croire aux analystes de ce début de siècle que les entreprises y trouveraient leur compte tôt ou tard. La prophétie avait du vrai, car on peut dire aujourd'hui que le phénomène jouit d'un certain élan dans le secteur des affaires. En tout cas, son impulsion est telle que l'on en parle maintenant dans les médias grands publics, comme le National Post et le Wall Street Journal.

Au-delà de la simple recherche sur le Web, les réseaux sociaux permettent aux travailleurs de rester en contact avec des collègues ou des spécialistes de l'industrie afin de trouver de nouvelles pistes de vente, des informations sur un sujet pointu ou des occasions de faire progresser leur carrière, par exemple. Ou encore de partager les meilleures pratiques de leur secteur.

Sans surprise, les plus enthousiastes sont les membres de la génération Y. Dans un sondage mené aux États-Unis par ABI Research entre novembre 2007 et juin 2008, les trois quarts des participants accédant à des sites communautaires avaient entre 18 et 30 ans. Une enquête récente, réalisée cette fois par Intelli Survey, indique que 77 % des salariés ayant entre 20 et 29 ans considèrent les aspects sociaux du travail comme un facteur très important quant à la satisfaction vis-à-vis de leur emploi. Autre statistique intéressante, 81 % des membres de la génération Y travaillant en entreprise se sentent « déconnectés » de l'information, des politiques et des possibilités d'avancement au sein de leur organisation.

Voilà quelques-unes des raisons pour lesquelles il existe des sites comme linkedin.com et xing.com, destinés à mettre en contact des professionnels et des membres de réseaux d'entreprise. Dans une proportion écrasante de 86 %, les travailleurs de la génération Y préfèrent s'adresser à des personnes de confiance pour recevoir renseignements et recommandations.

Justement, la raison d'être des réseaux sociaux est de permettre aux gens d'aider les gens, selon les recherches de la multinationale des services-conseils Deloitte. Les participants à une étude menée par cette entreprise estiment que l'efficacité d'une communauté en ligne tient principalement à la possibilité pour les membres d'entrer en contact avec des personnes partageant leurs intérêts. Ils attachent aussi de l'importance à l'entraide entre membres et à la capacité de la communauté de focaliser sur des sujets particuliers.

mardi 19 août 2008

Les Américains peu friands du Web 2.0 - Actualité techno - Internet

Les Américains peu friands du Web 2.0

Selon une étude de Pew Internet & American Life, seule une petite minorité des Américains exploiterait au maximum les outils d'interactivité du Web 2.0.

En effet, seulement 8% des Américains seraient de grands consommateurs de gadgets électroniques, technologies mobiles et d'outils typiquement Web 2.0 tels que les blogues et le réseautage social.

Plus généralement, l'étude de Pew Internet classe un peu moins d'un Américain sur trois (31%) dans «l'élite technologique» des États-Unis, cette catégorie regroupant aussi bien les grands mordus du Web 2.0 que les utilisateurs fréquents qui savent tirer profit d'Internet.

Dans son portrait de la population américaine qui se base sur les relations et l'attitude face aux technologies du cellulaire et d'Internet, Pew Internet regroupe 20% des Américains dans une catégorie intermédiaire, qui est composée d'utilisateurs enthousiastes des services cellulaires mais peu branchés à Internet et d'utilisateurs assez bien connectés aux réseaux mais qui croulent un peu sous le poids des technologies.

Enfin, presque un Américain sur deux (49%) est classé comme utilisateur faible ou occasionnel des technologies mobiles et Internet, soit parce qu'ils ont peu ou pas accès à ces services, soit parce qu'ils n'utilisent ces technologies que rarement. Cette dernière classe comprend les 15% d'Américains sans cellulaire et sans connexion Internet qui se disent satisfaits avec les médias traditionnels. Tous les détails dans le rapport de l'étude sur PewInternet.org.

mercredi 6 août 2008

Les mashups prêts à envahir l'entreprise

Les mashups prêts à envahir l'entreprise
Agréger plusieurs sources d'informations pour répondre rapidement à un besoin spécifique, une technologie amenée à se généraliser.
Isabelle Boucq, 01net., le 06/08/2008 à 16h06

Comme c'est souvent le cas avec une nouvelle technologie, les mashups sont nés d'une frustration. « Les départements IT sont engorgés et ne peuvent faire face à la demande des utilisateurs qui ont besoin d'applications pour mieux faire leur travail, explique Nicole Carrier, chef de projet du IBM Mashup Center. Les mashups permettent à l'entreprise de rester agile car il s'agit de réutilisation de données et le développement est simple. »
Une nouvelle génération d'utilisateurs devrait accélérer la diffusion des mashups en entreprise. « Les jeunes, habitués aux réseaux sociaux, sont sensibilisés aux mashups et peuvent les créer eux-mêmes, constate Frédéric Richer, le directeur marketing de Serena Software, un éditeur qui a lancé son Mashup Exchange en septembre dernier. L'intérêt est que l'IT ne perde pas le contrôle comme cela a pu se produire avec les applications Access ou Excel. »
Netvibes sollicité
« Mixer plusieurs services de sources différentes, c'est pouvoir accéder à une information totalement ciblée. On se concentre sur un besoin particulier, le principe est génial », s'enthousiasme Freddy Mini, le CEO de Netvibes, un site « 100 % mashup » qui permet aux internautes d'assembler sur une seule page toutes leurs sources préférées.
Freddy Mini avoue que certaines entreprises sollicitent Netvibes pour utiliser sa technologie. « Nous n'avons pas encore d'annonce. Mais les entreprises peuvent déjà utiliser notre framework UWA (Universal Widget API) pour créer des widgets qui s'intègrent comme des caméléons dans leur environnement », ajoute-t-il.
Serena Software et IBM ont décidé que le marché était mûr et ont lancé leur offre. « Cela fait trois ans que nous suivons cette technologie. Avec la généralisation des API (Application Programming Interface), les conditions sont réunies. Sur notre Mashup Center, les utilisateurs trouvent les briques pour construire leur mashup », explique Nicole Carrier. Ces jours-ci, IBM annonçait la disponibilité d'une version hébergée pour que les utilisateurs essaient la technologie sans rien installer chez eux.
Alors que font les entreprises avec cette nouvelle technologie ? « Les ressources humaines peuvent créer des applications pour automatiser le processus pour les nouveaux entrants comme la remise de badge, de carte cantine, etc. Les forces de vente peuvent créer un mashup qui permet au directeur commercial de récupérer la fiche d'une entreprise chez Dun & Bradstreet par exemple, lorsqu'il examine une demande de remise », développe Frédéric Richer chez Serena. Il estime que déployer des mashups dans l'entreprise coûte environ 950 euros par poste.
« Boeing a créé un mashup pour pouvoir réagir à des demandes urgentes en cas de catastrophe naturelle. Il faut débloquer l'information là où elle se trouve et la présenter de façon utile en montrant les aéroports ouverts ou encore la longueur de leurs pistes d'atterrissage », explique Nicole Carrier chez IBM. Carrefour évalue la technologie pour optimiser les livraisons en magasins en fonction de la météo et des conditions sur la route. Les PME, elles, restent frileuses. Selon Serena, elles préfèrent plutôt actuellement attendre de voir les résultats d'implémentations de mashups en entreprise. Parmi les autres éditeurs qui se positionnent sur ce marché, citons Microsoft, Kapow Technologies, StrikeIron et Xignite.

mardi 5 août 2008

Travail 2.0 : le travail n’est plus ce qu’il était ! par Christophe Deshayes – Tribune Journal du Net

Travail 2.0 : le travail n’est plus ce qu’il était !
Quels impacts les TIC ont-elles sur le travail ? La réponse saute aux yeux : les impacts sont gigantesques. Et plus concret que le concept d'entreprise 2.0, le travail 2.0 nous annonce une transformation profonde déjà à l'oeuvre.
(30/06/2008)
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Tous les métiers sont aujourd’hui rattrapés par les TIC. Des TIC qui ne se contentent plus d’être un outil de support, à la périphérie du métier, mais un élément de plus en plus consubstantiel au métier lui-même.

Les TIC changent en profondeur la manière d'apprendre à l'école, la visioconférence va transformer radicalement la façon de rendre la justice dans les tribunaux, les systèmes satellitaires guide l'agriculteur dans son travail de la terre...

Un mouvement similaire est, bien évidemment, massivement enclenché dans les entreprises à l'intérieur desquelles l'effet des TIC sur le travail ne se résume plus seulement à l'automatisation, la dématérialisation, la mondialisation, ou au nomadisme.

Au-delà des considérations classiques sur la productivité, c'est la vie des gens au travail qui est chamboulée, ainsi que les comportements individuels et collectifs, la manière de se représenter son utilité, sa place dans la société mais également la charge psychique à assumer (stress), et même le rapport à la transparence, au contrôle, voire à la surveillance.

Un débat sur ce sujet serait le bienvenu pour mieux appréhender collectivement des phénomènes aussi importants. A l'heure où les DSI s'accordent sur l'importance des usages (cf. le discours stratégique du Cigref ), un tel débat n'a jamais été aussi opportun !

Et pourtant ce sujet ne fait pas débat dans l'entreprise. Personne ne semble avoir envie de le prendre à bras le corps. Le DSI se sent sûrement peu légitime pour traiter de questions si ouvertement sociales, tandis que le DRH ne se sent, de son côté, guère plus à l'aise sur un sujet au contenu technologique si vaste.

Les Directions Générales ne semblent pas vouloir s'en inquiéter non plus, soit elles ramènent ces questions à des questions techniques d'ordre logistique (ce qu'elles sont assurément mais pas exclusivement) soit elles considèrent ces mouvements avec fatalité, comme les fruits d'une techno-science toute puissante (on n'arrête pas le progrès) qui dépassent donc de beaucoup, les frontières et surtout les marges de manoeuvre de l'entreprise. Il convient alors de prendre acte de ces phénomènes comme on le peut et quand ils surviennent... mais pas d'en débattre.

On comprend donc bien la difficulté à organiser le débat. Pourtant maîtriser ces phénomènes ne peut s'envisager qu'à partir d'une compréhension collective, argumentée, discutée.

Pendant ce temps les travaux académiques dans le champ des sciences humaines notamment, (sociologie, gestion, connaissance...) abondent sur le sujet. A titre d'exemples, deux groupes transverses de recherche du CNRS travaillent depuis plusieurs années sur ces questions.

Un livre publié aux Presses des Mines sous le titre « Où va le travail à l'ère du numérique » en synthétise certaines questions. De son côté, une jeune sociologue, C. Datchary, démontre avec talent comment la « dispersion » a pu devenir dans notre société technique une véritable compétence, tant cette dispersion est devenue omniprésente.

Or, cette dispersion s'est développée entre autres sous l'effet de l'omniprésence des TIC, mais ces mêmes TIC sont utilisées par certains pour transformer cette dispersion en compétence. Une piste de réflexion particulièrement féconde.

L'usage des outils de type web 2.0 ont fait redécouvrir l'intérêt des différentes formes de pratiques communautaires et le recours à des procédures d'organisation plutôt informelles si ce n'est « molles ». Or, de nombreuses entreprises pourraient s'obstiner à vouloir introduire ce type d'outils dans les métiers, en les couplant avec des procédures formelles. C'est en tous cas un risque multiforme (accroissement des redondances, incohérences, vulnérabilités,...) que pointe du doigt E. Fimbel, professeur à la Reims Management School.

Laissons là l'énumération des contributions scientifiques récentes sur la question. Le débat sur les TIC et le travail est une nécessité. Et s'il n'est pas entamé prochainement, le monde rationnel de l'entreprise pourrait bien se retrouver un jour à devoir prendre des leçons de toutes les institutions que l'entreprise regarde si souvent avec condescendance : l'éducation, la justice, l'agriculture... Un comble, non ? C'est la raison pour laquelle nous lancerons ce débat lors de notre 5ème université d'été qui aura lieu à Ville d'Avray du 8 au 9 juillet.
Christophe Deshayes

vendredi 4 juillet 2008

Web 2.0 et bibliothèque 2.0

Je reproduis, ici, un article du blog «bibliodoc.francophonie», en espérant lui donner une audience auprès de mon réseau. C'est simple, direct, et ça pourrait éclairer les esprits de plus anciens comme moi. (JMR)

Table des matières

  • Blogues
    • Qu’est-ce qu’un blogue ?
      • Caractéristiques
      • Création d’un blogue
      • Typologie
      • La blogosphère
      • Les risques des blogues
    • Les applications du blogue en bibliothèque
    • Conclusion sur les blogues
    • Autres liens intéressants
  • Wikis
    • Qu’est-ce qu’un wiki ?
      • Caractéristiques
      • Création d’un wiki
      • Utilisation d’un wiki
      • Les risques des wikis
    • Les applications du wiki en bibliothèque
  • Fils RSS
    • Qu’est-ce qu’un fil RSS ?
      • Pourquoi des fils RSS ?
      • L’utilisation des fils RSS
      • Les avantages des fils RSS
    • Les applications des fils RSS en bibliothèque
    • Autres liens intéressants
  • Folksonomie
    • Qu’est-ce que la folksonomie ?
      • Définition
      • Comment procéder ?
      • Forces et faiblesses de la folksonomie
      • Usages actuels
      • Améliorations attendues
    • Les applications de la folksonomie en bibliothèque

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Dossier rédigé par : Dominique Gazo
Candidate - Doctorat en sciences de l’information
EBSI, Université de Montréal, Qc, Canada

Nous remercions pour leur précieuse collaboration :

Olivier Charbonneau , Université Concordia, (Québec)
Nicolas Morin, ENSSIB (France)
pour leurs commentaires

lundi 23 juin 2008

Forum Mondial de l'e-Démocratie: Manifs 2.0 en Corée

Forum Mondial de l'e-Démocratie: Manifs 2.0 en Corée

Manifs 2.0 en Corée

Il est intéressant de suivre l'actualité de la Corée du Sud dans le domaine de l'e-Démocratie. Car ce pays hyper connecté, terre de naissance du concept du "citoyen journaliste", est un laboratoire à taille réelle des usages de l'Internet en politique. Le pays vient ainsi de connaitre une poussée de fièvre qui a provoqué les plus grandes manifestations de rue depuis plus de vingt ans, la démission du gouvernement et le remaniement de l'état major présidentiel, trois mois à peine après l'investiture du Président Lee Myung-bak. A travers cette crise, "Nous avons peut être expérimenté une nouvelle manière de faire de la politique", suggère ainsi le professeur Chun Sang-chin de l'Université de Sogang, "où l'Internet apparait à beaucoup de citoyens comme la véritable plateforme d'expression démocratique".

Elu en décembre dernier avec la plus grande marge jamais réalisée dans une élection présidentielle coréenne, le président Lee Myung-bak est, trois mois après son entrée en fonctions, le président le plus impopulaire en début de mandat que le pays a connu.

L'idée que l'importation de boeuf américain, décidée par le nouveau président en avril, constituait un réel risque sanitaire pour les coréens a été véhiculée par Internet et les SMS si rapidement qu'elle est devenue un fait avant même que le gouvernement et les mass médias aient pu réagir. Des citoyens se sont transformés en reporters pour mener des interviews, prendre des photos et, grâce à l'Internet en très haut débit, envoyer des vidéos sur leurs blogs et sur les forums de discussion en direct. "Les gens ne sont pas satisfaits de la manière dont les médias traditionnels couvrent la question et ont décidé de créer leurs propres contenus" explique Lee Jong-ho, producteur sur OhmyTV, une filiale du célèbre site OhMyNews qui a lancé le concept de "citoyen journaliste".

Le populaire portail DAUM (http://agora.media.daum.net/), qui enregistre habituellement environ 40 millions de pages vues par jour, a atteint plus de 200 millions en quelques jours tandis que le site de "Self diffusion" Afreeca (http://www.afreeca.com/), a vu son audience tripler pendant la crise, avec 5 à 6 millions de visiteurs par jour.

L'utilisation de l'Internet a même modifié les traditionnelles manifestations sud-coréennes. Les manifestants discutent, par exemple, du meilleur équipement vidéo à prendre avec soi, de préférence résistant aux dégats causés par les canons à eau de la police. Leur priorité est de publier le plus rapidement possible des clips vidéos et photos sur leurs blogs. "Avant, il fallait dépenser beaucoup d'argent dans des équipements satellites pour diffuser quelque chose en direct des rues. Maintenant, vous avez seulement besoin d'une caméra et d'un ordinateur portable doté d'une connexion WiFi" raconte Lee Jong-ho, producteur sur OhmyTV (http://www.ohmynews.com).

Le Président de la Broadcasting and Communications Commission, le CSA coréen, a indiqué que les autorités ne pouvaient pas intervenir rapidement pour stopper les fausses informations circulant sur l'Internet. Certains qualifient ce phénomène de "populisme numérique" ou de "protestations du Web 2.0".

jeudi 12 juin 2008

the Encyclopaedia Britannica is "about to launch a new initiative" that will allow users to participate in the EB Wikipedia-style.

Larousse et maintenant Britannica... bientôt l'on ne saura plus à qui se fier...et la validation de l'information dans tout ça?

Wikitannica

The Chronicle of Higher Education reports that the Encyclopaedia Britannica is "about to launch a new initiative" that will allow users to participate in the EB Wikipedia-style. From the press release, "A complete redesign, editing tools, and incentive programs will give expert contributors and users the means to take part in the further improvement of Encyclopaedia Britannica and in the creation and publication of their own work... Encyclopaedia Britannica will continue to form the core base of knowledge and information on the site, though the material created by contributors and the user community, which each member will control and be credited for, will be published alongside the encyclopedia." Much more information available in the press release and on the Britannica Blog, where surprisingly there's only one actual comment about the new initiative, even though it was announced 3 days ago!

jeudi 22 mai 2008

Faire des fils RSS où il n'y en a pas

ComputerPonyfish RSS Feed Builder
A free point-and-click web-based tool that enables you to create an rss feed from almost any web page.

Les fils RSS sont un bon moyen de faire de la veille, mais, même s'il y en a de plus en plus, il nous arrive encore de trouver des sites intéressants qui n'en ont pas. Si ces pages web sont vivantes et souvente foi mises à jour, il serait intéressant de faire une veille de leur contenu. L'outil ci-haut mentionné, permet justement de créer un fil RSS la où il n'y en a pas . c'est très utile, très facile et pourquoi alors s'en passer.
SVP Dites moi ce que vous en pensez

mardi 20 mai 2008

Inspiré par Wikipédia, Larousse veut faire revivre l'encyclopédie sur le Net - La Tribune.fr

Même Larousse change . Le monde de l'information a beaucoup changé mais le meilleur (ou le pire ) reste à venir. La présente période en est une de transition et en voici un exemple.

Gossip

Les éditions Larousse lancent larousse.fr, une version en ligne de l'encyclopédie traditionnelle qui comprend une section "contributive",

"Avec Wikipédia, nous avons réalisé que le savoir s'était très étendu et très spécialisé. Nous avons également pris conscience que les internautes venaient sur le Web pour chercher de l'information mais également pour en fournir", explique la PDG des Editions Larousse, Isabelle Jeuge-Maynart, qui a annoncé ce mardi le lancement de larousse.fr.

Prenant acte de la mort de l'encyclopédie en 20 volumes, trop généraliste "par rapport aux besoins réels", larousse.fr proposera aux internautes 150.000 articles, soit la totalité de son fond encyclopédique et proposera aux internautes d'apporter - dans un espace dédié afin de ne pas créer de confusion avec les contenus Larousse - leurs propres contributions, à la manière de Wikipédia. En ouvrant ses pages aux profanes, les éditions Larousse s'attaquent à un sujet tabou dans le petit monde des encyclopédistes. Car, si les articles mis en ligne sur ce site sont rédigés parfois par des experts, ils sont aussi souvent le fait d'amateurs, quand ce n'est pas par des individus désireux de faire leur propre publicité. Ils ne répondent à aucun critère de qualité particulier et ne sont passés à aucun crible de vérification, le site misant sur la communauté pour jouer les gardes fous. Pourtant, magie du système, les contributions sont souvent de très bonnes qualités, même si les erreurs sont nombreuses, ce qui n'est pas sans poser problème dans le monde du savoir.

Surtout, la Toile constitue un apport précieux les éditions Larousse dans la mesure où elle nous "permet à partir des mots clefs de savoir ce qui intéresse les internautes", explique la PDG, brisant également un autre tabou dans la mesure où la hiérarchisation et le choix des articles sont à l'origine du domaine des experts de l'encyclopédie. "Il faut des encyclopédies plus compactes mais plus intéressantes pour le public", rétorque Isabelle Jeuge-Meynart. Ainsi, la PDG compte utiliser les informations remontées par les internautes pour concevoir des ouvrages papier à destination par exemple des élèves de collège ou de lycées. A ce jour, Larousse ne commercialise plus qu'une encyclopédie en 3 volumes, mais a renoncé aux collections exhaustives. La création de nouveaux ouvrages est pour le moment l'unique retombée économique du site. Car Larousse.fr, qui veut attirer un maximum de contribution d'internautes sera en accès libre, afin de pouvoir remonter sur les pages de Google en fonction des recherches effectuées par les internautes.

Larousse compte également se servir du Net pour recruter de nouveaux auteurs à moindre prix. "La création d'une encyclopédie coûte extrêmement cher. Ce système nous permettra de trouver de nouveaux auteurs spécialisés sur leur sujet que nous rémunèrerons". Même si Wikipédia compte bien des erreurs, l'encyclopédie en ligne a détrôné sur le Web ses consoeurs traditionnelles. Le site, compte 390.000 auteurs aujourd'hui et 10 millions d'articles. Face à l'ampleur de ce fond, Larousse est donc prêts à s'accommoder des inexactitudes des internautes.

Sandrine Cassini

vendredi 2 mai 2008

Le Web 2.0 et les bibliothèques 2.0

Tous ceux qui s'intéressent à l'évolution de l'information mais qui auraient de la peine à suivre l'évolution récente du web 2.0 auront ici une somme des définitions et usages ainsi que des liens extrêmement utiles et pertinents. A remarquer que c'est le résultat d'une collaboration dirigée par un doctorant de l'EBSI. Merci à eux.(JMR)

Table des matières

  • Blogues
    • Qu’est-ce qu’un blogue ?
      • Caractéristiques
      • Création d’un blogue
      • Typologie
      • La blogosphère
      • Les risques des blogues
    • Les applications du blogue en bibliothèque
    • Conclusion sur les blogues
    • Autres liens intéressants
  • Wikis
    • Qu’est-ce qu’un wiki ?
      • Caractéristiques
      • Création d’un wiki
      • Utilisation d’un wiki
      • Les risques des wikis
    • Les applications du wiki en bibliothèque
  • Fils RSS
    • Qu’est-ce qu’un fil RSS ?
      • Pourquoi des fils RSS ?
      • L’utilisation des fils RSS
      • Les avantages des fils RSS
    • Les applications des fils RSS en bibliothèque
    • Autres liens intéressants
  • Folksonomie
    • Qu’est-ce que la folksonomie ?
      • Définition
      • Comment procéder ?
      • Forces et faiblesses de la folksonomie
      • Usages actuels
      • Améliorations attendues
    • Les applications de la folksonomie en bibliothèque

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Dossier rédigé par : Dominique Gazo
Candidate - Doctorat en sciences de l’information
EBSI, Université de Montréal, Qc, Canada

Nous remercions pour leur précieuse collaboration :

Olivier Charbonneau , Université Concordia, (Québec)
Nicolas Morin, ENSSIB (France)
pour leurs commentaires



Date de mise à jour : samedi 26 avril 2008

vendredi 25 avril 2008

Provoquer ou subir le changement. L’avenir de la collaboration gouvernementale et le Web 2.0

Le passage à la collaboration en ligne
Le monde technologiquement sophistiqué d’aujourd’hui exige du gouvernement qu’il le soit
tout autant. Des citoyens et parties prenantes de plus en plus connectés demandent à leurs
gouvernements de leur fournir des services plus rapides et plus effi caces. Par ailleurs, les
bureaucraties sur lesquelles reposent les gouvernements sont souvent réticentes à adopter les
technologies Internet de pointe pour accélérer la prestation des services.

lundi 21 avril 2008

L'encyclopédie Britannica offerte aux blogueurs - Actualité techno - Internet

L'encyclopédie Britannica offerte aux blogueurs - Actualité techno - Internet: "L'encyclopédie Britannica offerte aux blogueurs

britannica.jpgLa célèbre encyclopédie, dont tous les volumes sont disponibles pour environ 1500$, ou en ligne pour 70$ par mois, sera offerte gratuitement aux blogueurs qui pourront se qualifier à son programme Britannica WebShare.

Confrontée à la concurrence de Wikipédia, que certains disent d'ailleurs plus fiable, Britannica offrira aux blogueurs la possibilité d'accéder à son contenu et d'y faire pointer leurs visiteurs, sans qu'ils n'aient à s'y inscrire. C'est ces visiteurs que Britannica essaie de convaincre; on espère qu'ils s'abonnent afin de continuer leurs recherches.

Britannica saura-t-elle regagner le terrain perdu depuis quelques années? L'encyclopédie, désormais réservée à la communauté scientifique, pourra-t-elle regagner la faveur populaire?"

mercredi 16 avril 2008

Plus d'un million de Québécois séduits par le Web participatif

Plus d'un million de Québécois séduits par le Web participatif: "Plus d'un million de Québécois séduits par le Web participatif
Montréal - Internet n'est définitivement plus un phénomène marginal au Québec. Non seulement 4,4 millions d'adultes québécois l'ont désormais adopté mais plus d'un million se laissent aujourd'hui séduire par certaines applications du Web participatif et du Web 2.0 (réseaux sociaux, blogues, wikis, baladodiffusion, etc.). Voilà l'un des principaux constats tirés de NETendances 2007, la plus vaste enquête jamais réalisée sur l'utilisation d'Internet au Québec.

Amorcé en novembre 1999, ce sondage effectué par Léger Marketing pour le compte du Centre francophone d’informatisation des organisations (CEFRIO), a permis d'interviewer à ce jour plus de 140 000 Québécois sur leurs habitudes de navigation et leur propension à faire du commerce électronique.

En constante évolution

'A notre étonnement, l'adoption d'Internet poursuit toujours sa progression au Québec; passant d'une moyenne de 66 % d'adultes à l'avoir utilisé sur une base régulière en 2006 à 71 % en 2007. Et plus les Québécois acquièrent de l'expérience sur le Web, plus ils sont enclins à en explorer les nouvelles avenues, déclare N"

vendredi 28 mars 2008

+30 outils de Mind Mapping

+30 outils de Mind Mapping: "+30 outils de Mind Mapping
Sunday 04 November 2007 à 20:18 — by Aziz Haddad

mindmapping.PNG

Nous avons tous besoin d’organiser nos idées et il n’existe pas de meilleure façon de le faire que de manière “visuelle”. Voici +30 outils (gratuits et payants) de mind mapping (ou cartes heuristiques si vous préférez) qui vous permettront justement de structurer vos idées/concepts d’une manière graphique."

mercredi 26 mars 2008

Article from SirsiDynix OneSource

Un vieil article de 2005 mais qui a l'avantage d'être fait pour des bibliothécaires par Sirsi Dynix et d'être complet sinon totalement à date
Article from SirsiDynix OneSource: "December 21, 2005
Web 2.0, Library 2.0, and Librarian 2.0: Preparing for the 2.0 World
by Stephen Abram, MLS, SirsiDynix vice president of Innovation

Recently I was asked if some software applications I was involved in were Web 2.0 compliant. This was amusing and distressing on so many levels. It’s amusing because what is being called Web 2.0 isn’t a “standard” in almost any sense of the word. It’s distressing because it shows how quickly a conversation becomes an expectation in today’s world. This is a perfect example of the power of the 95 Theses of the Cluetrain Manifesto. You can remind yourself about these at http://www.cluetrain.com/. The major thesis to me is number one – “Markets are conversations.”

Web 2.0, Library 2.0, and Librarian 2.0: Preparing for the 2.0 World
Anyway, I thought it might be useful to devote this month’s column to a little information on Web 2.0 and its newborn babies, Library 2.0 and Librarian 2.0. And why should you read this column? You’ve heard it all before, but in a few years these Web. 2.0 conversations have the power to drive huge transformations in our media landscape and, therefore, our life, work, and play environments. Sigh. As I’ve noted on my blog, we are entering"

vendredi 14 mars 2008

Utiliser des fils RSS

Utiliser des fils RSS

Utiliser des fils RSS pour effectuer une veille informationnelle active


RSS signifiait "Rich Site Summary" (ou sommaire de site enrichi), puis "RDF site summary", (sommaire de site basé sur la norme de description RDF ou Resource Description Framework), mais l'acronyme signifie actuellement "Really Simple Syndication" (une Syndication vraiment simple).

Le terme "fil RSS" équivaut à "lien RSS" ou à "canal RSS" ou à "flux RSS". De même " syndication de contenu" ou "abonnement à des flux RSS" ou "affiliation"désignent le même processus.

Un fil RSS est un fichier texte au format XML ( eXtended Markup Language) qui circule entre des ordinateurs affiliés, reliés à internet via les serveurs. exemple ( à ouvrir avec un éditeur de texte simple ou avec un navigateur récent : opera ou firefox)
Il est indépendant du système d'exploitation de l'utilisateur.
Quand une (ou plusieurs) information est ajoutée dans ce fichier de syndication, le nouveau fichier écrase l'ancien. Le récepteur, en mettant à jour ses informations, voit apparaître le nouveau contenu, ajouté aux anciens, selon les réglages opérés.
Actuellement un fil RSS peut donner de l'information textuelle ou vidéo ou audio (podcasts) pourvu que le codage soit un langage structuré. Voir aussi ici

1 - A quoi cela sert-il ?

mardi 5 février 2008

IMARK - Information Management Resource Kit

Un cour complet sur la veille, les ressources électroniques, le tout gratuit, on ne peut pas passer à coté de ça!
IMARK - Information Management Resource Kit: "Imprimer



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IMARK est une initiative de formation à distance en gestion de l'information agricole mise en place par la FAO et de nombreux partenaires.
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Création de communautés et de réseaux électroniques

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Élaboration d’une stratégie d’information"
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