mercredi 9 décembre 2009

Collecta : recherche d'opinions en temps réel

Collecta fait parti des nouveaux moteurs de recherches en temps réel. C'est-à-dire indexant quasi automatiquement les contenus publiés sur le web (sur le modèle de Twitter). Le temps réel semble donc être une des avancées les plus significatives du web à l’heure actuelle, et intégrer ce concept à l’aide d’outils adéquats dans sa veille d’e-réputation parait nécessaire.

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"Collecta : recherche d'opinions en temps réel Collecta fait parti des nouveaux moteurs de recherches en temps réel. C'est-à-dire indexant quasi automatiquement les contenus publiés sur le web (sur le modèle de Twitter). Le temps réel semble donc être une des avancées les plus significatives du web à l’heure actuelle, et intégrer ce concept à l’aide d’outils adéquats dans sa veille d’e-réputation parait nécessaire."
- Collecta : recherche d'opinions en temps réel - CaddE-Réputation (view on Google Sidewiki)

lundi 4 mai 2009

La Maison Blanche se connecte au Web 2.0 Actualité --- Silicon.fr ---

Le futur président l'a fait. Le nouveau président le fait. La Maison Blanche a suivit. La transparence sera-t-elle véritable? Nous l'espérons tous. A quand une politique de transparence similaire dans les autres pays notamment au Canada. Je ne crois pas que ce soit demain que notre PM se mettra au diapason!(JMR)


04-05-2009

Par la rédaction
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Présente sur MySpace, Facebook, Twitter, YouTube et FlickR, la Maison Blanche est sans doute l’administration la plus à connectée à sa population de toute l’histoire des Etats-Unis."

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lundi 20 avril 2009

Les clés du web 2.0

Mise à jour de la base de données
collaboration stockage en ligne partage média personnalisation gestion de connaissance reseaux sociaux communication
retour a l'accueil
Retour à la page d'accueil
Autres outils

* Blogs
* Bureaux virtuels
* Cartes heuristiques
* Espaces de stockage en ligne
* Skype

collaboration stockage en ligne partage de médias personnalisation gestion des connaissances communication
Autres outils - Les blogs
Qu’est ce qu’un blog ?

Un blog est un site web pouvant être réalisé très simplement par n’importe qui.
Ce type de site a la caractéristique d’être constitué de billets (i.e. texte d’information court) écrits par l’auteur du blog et dans lesquels peuvent s’insérer des commentaires écrits par les gens qui consultent le blog . Il est à noter que le créateur de blog peut choisir de laisser ou non la possibilité aux visiteurs d’ajouter des commentaires. Nous considérerons ici les blogs dont l’ajout est autorisé.

Un blog peut donc être considéré comme un espace d’échange entre le créateur du blog, les visiteurs du blog et les visiteurs entre eux.
Les visiteurs se rendent régulièrement sur le blog et suite aux billets publiés par l’auteur ou les commentaires insérés par les autres visiteurs, ils réagissent par l’ajout de commentaire.
De cette façon, du contenu est régulièrement ajouté (soit par le créateur, soit par les visiteurs) ; pour cette raison, les billets apparaissent la plupart du temps de façon antéchronologique, c.-à-d. que les plus récents sont affichés en premier sur le blog. Ainsi, chaque visiteur a directement accès aux dernières infos.


Les billets peuvent contenir de nombreux médias : image, vidéo, musique.
Ces contenus enrichis favorisent l’attrait des blogs. Certains types de blogs privilégient même ces formats, c’est le cas des photoblogs (par exemple, www.photoblog.com/) qui vous permettent de créer des blogs dont le format principal est la photo (voir l’exemple ci dessous) et des videoblogs dont le format privilégié de l’information publiée est la vidéo.
A quoi ça sert ?

Chaque auteur d’un blog décide du thème qu’il veut traiter. Chaque personne qui décide de donner son avis, parler d’un thème ou encore s’exposer au public peut créer son blog.
Sur les blogs, on trouve souvent des échanges d’idées et la création d’une communauté en émerge naturellement.

Un blog peut aussi servir de vitrine pour des artistes créateurs. Ainsi, un blog peut être un journal intime anonyme, les œuvres d'un dessinateur, l'opinion d'un journaliste, le carnet de bord d'un photographe, des satires d'hommes politiques, les vidéos d'une classe de collège, un roman en construction, les anecdotes quotidiennes d'une mère de famille, etc.

Il est à préciser que l’auteur du blog est tenu pour responsable des propos diffusés sur son blog. Il doit donc, dès qu'il a connaissance de commentaires non conformes à la législation, supprimer les commentaires en question.
Comment faire un blog ?

La création d’un blog est très facile et ne demande aucune connaissance particulière en informatique. Des sites sont dédiés à la création de blog ; c’est le cas de Blogger (www.blogger.com), Over-Blog (www.over-blog.com) ou Skyblog (www.skyrock.com/blog).

Il vous suffit de vous rendre sur un de ces sites, et de suivre la procédure pas à pas et votre blog est automatiquement créé.
Par défaut, ces portails imposent un format de présentation identique pour tous leurs utilisateurs ; vous pouvez ensuite paramétrer votre blog.


Conception et réalisation : ULg - IFRES - LabSET | Contact"

Ouverture officielle de la Bibliothèque numérique mondiale le 21 avril 2009 - TIC et éducation au Canada : l’Infobourg

Ouverture officielle de la Bibliothèque numérique mondiale le 21 avril 2009 - TIC et éducation au Canada : l’Infobourg: "Ouverture officielle de la Bibliothèque numérique mondiale le 21 avril 2009
Par Lucile Donnat, APP

France - Après plusieurs années d’attente, le projet de Bibliothèque numérique mondiale voit enfin le jour ! Lancée à l’initiative de l’UNESCO et de plusieurs grandes bibliothèques dans le monde, en partenariat avec le Congrès des États-Unis, la bibliothèque numérique mondiale va être inaugurée le 21 avril 2009 au siège de l’UNESCO.

Attendue depuis 2005, annoncée en 2008 et finalement inaugurée en 2009, la Bibliothèque numérique mondiale a su se faire désirer ! La voici donc qui sera inaugurée le 21 avril 2009 par l’UNESCO et la bibliothèque du Congrès des Etats-Unis au siège de l’UNESCO. Au total, 32 institutions partenaires ont participé à l’élaboration de cette bibliothèque en ligne géante.

Avec cette bibliothèque numérique mondiale, accessible à l’adresse www.worlddigitallibrary.org, les internautes auront accès librement et gratuitement à une collection de ressources numérisées de partout dans le monde : des manuscrits, cartes, livres, enregistrements sonores, illustrations, films, photographies…"

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mercredi 8 avril 2009

Les futurs profs sont-ils Web 2.0? - TIC et éducation au Canada : l’Infobourg

Les futurs profs sont-ils Web 2.0? - TIC et éducation au Canada : l’Infobourg: "Par Martine Rioux, APP

Montréal - Après avoir participé à une formation de 15 heures à propos du Web 2.0, 35 futurs enseignants ont eu à identifier des besoins personnels de formation, à élaborer une stratégie personnelle d'autoformation mettant à profit des outils du Web 2.0 et à la mettre en pratique. Le résultat est décevant.

« Mes étudiants utilisent des outils Web 2.0, comme Facebook, dans leur vie personnelle. Mais, ils n’ont pas encore saisit le potentiel de ces outils du point de vue du partage, de l’interaction et de la création de réseaux possible dans le cadre de leur vie professionnelle », souligne Patrick Giroux, professeur au département des sciences de l'éducation et de psychologie à l’Université du Québec à Chicoutimi.

À l’intérieur du programme de la formation des maîtres offerte à l’UQAC, M. Giroux donne le seul cours en lien avec l’utilisation des technologies de l’information et de la communication (TIC). Ce cours de trois crédits est optionnel. Sur les 45 heures du cours, M. Giroux a choisi de consacrer 15 heures à la découverte du Web, à sa maîtrise et à la découverte de son potentiel pédagogique.

Il débute par une initiation à la recherche sur Internet. Il enchaîne avec des outils comme le blogue, le wiki, la syndication RSS, Google Documents, Webspiration, del.icio.us, Flickr et Facebook. Chaque outil est présenté et démontré par le professeur. Il est ensuite essayé par les étudiants, suivi d’une discussion sur les forces et faiblesses de chacun.

M. Giroux invite finalement ses étudiants à élaborer et mettre en place une stratégie d’autoformation personnelle en y intégrant ces outils du Web. « L’objectif réel était de leur permettre de se créer un environnement d’apprentissage personnel, visant leur formation continue une fois qu’ils seront sortis de l’université ».

Au bout du compte, plusieurs étudiants se sont créé un blogue, principalement afin d’y consigner leurs idées et trouvailles sur le Web. D’ailleurs, la fonction qu’ils ont le plus utilisé est la recherche sur le Web. Ils ont malgré tout appris à apprivoiser quelques outils qu’ils ne connaissaient pas auparavant.

« Le Web a été utilisé pour repérer et indexer des ressources. Ils sont passés à côté du potentiel de réseautage et de collaboration qu’offre désormais Internet. La notion de formation continue est demeuré abstraite pour eux », fait remarquer M. Giroux, passablement déçu par l’expérience."

jeudi 26 mars 2009

Des tutoriels sur le Web 2.0 et les réseau sociaux

Par Fabrice MOLINARO
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Les espaces numériques des bibliothèques ont pour mission de favoriser l'accès du grand public aux nouvelles technologies. Quels que soient l'âge et le niveau des utilisateurs, des ateliers et des rendez-vous individuels sont mis au point par les responsables tout au long de l'année.
Le Centre de Ressources des EPN (Espaces Publics Numériques) de Wallonie nous signale une belle initiative de leurs collègues des Espaces Publics Numériques de la Bibliothèque Municipale de Lyon. En effet, ces derniers ont publié des tutoriels sur le Web 2.0 et les réseaux sociaux. Disponibles gratuitement au format PDF, ces documents sont destinés à sensibiliser et former le grand public sur les nouveaux outils du Net.

Voici une sélection de tutoriels proposés par ces EPN (Espaces Publics Numériques) :

Les sites de musique 2.0 (Qu’est-ce qu’un site de musique 2.0 ? Ecouter de la musique en surfant sur Internet ; Créer son compte sur un site de musique, etc.)
Consulter le tutoriel (PDF) : www.vive-laculturenumerique.org/share/myfile/musique%20en%20ligne.pdf

DailyMotion et YouTube (Comment utiliser DailyMotion ? Comment utiliser YouTube ? Comment mettre une vidéo de Dailymotion sur un blog ? etc.)
Consulter le tutoriel (PDF) : www.vive-laculturenumerique.org/share/myfile/Dailymotion%20et%20You%20tube.pdf

Partager un annuaire collectif de signets avec Del.icio.us (Introduction ; Création de comptes ; Fonctionnement de Del.icio.us ; etc.
Consulter le tutoriel (PDF) : www.vive-laculturenumerique.org/share/myfile/DeIicious.pdf

Les logiciels gratuits en ligne (Google Documents ; ThinkFree ; Autres logiciels en ligne, etc.)
Consulter le tutoriel (PDF) : www.vive-laculturenumerique.org/share/myfile/logiciels%20gratuits%20en%20ligne.pdf

Les réseaux sociaux MySpace et Facebook (Réseaux sociaux — mode d’emploi ; Ma page sur Myspace ; Ma page sur Facebook ; Des réseaux sociaux thématiques, etc.)
Consulter le tutoriel (PDF) : www.vive-laculturenumerique.org/share/myfile/Myspace%20et%20Facebook.pdf

Flux RSS et podcasts (Qu’est-ce qu’un flux ? Comment s’abonner à un flux ? Création d’un compte Netvibes ; Le podcasting)
Consulter le tutoriel (PDF) : www.vive-laculturenumerique.org/share/myfile/RSS%20et%20podcasts.pdf

Par ailleurs, il est conseillé de consulter régulièrement le blog des animateurs des Espaces Publics Numériques de la Bibliothèque Municipale de Lyon : http://www.vive-laculturenumerique.org."
lire cette information sur Infostratèges

mardi 10 février 2009

Le collaboratif fait l'unanimité mais peut mieux faire Actualité --- Silicon.fr ---

Le collaboratif fait l'unanimité mais peut mieux faire

10-02-2009

Par Olivier Chicheportiche
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Une étude de Forrester pour Adobe souligne que les outils actuels ne répondent pas aux exigences d'efficacité, de fiabilité et de sécurité des professionnels. Encore faut-il utiliser tous les outils mis à sa disposition, notamment du côté Web 2.0
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Le travail collaboratif (e-mails, vidéoconférences, documents partagés, mais aussi forums, blogues, réseaux sociaux, wikis...) monte en puissance depuis plus d'un an. Et son essor est aujourd'hui porté par le contexte économique, les entreprises à la recherche de réduction de coûts se tournent plus facilement vers ce type de solutions.

Pour autant, si le concept semble faire l'unanimité auprès des directions et des décideurs informatiques, les solutions proposées semblent encore perçues comme incomplètes voire décalées face aux attentes des professionnels. C'est ce qui ressort d'une étude menée par Forrester pour Adobe (3.000 entretiens en ligne auprès de contacts qualifiés résidant en France, en Allemagne, en Italie, aux Pays-Bas, en Espagne, en Suède et au Royaume-Uni).

Première conclusion, le travail collaboratif, de façon générale, est bel et bien utilisé par les pros : 99% des personnes interrogées déclarent travailler de manière collaborative et 81% collaborent avec des personnes situées dans des zones géographiques différentes (33% avec des employés de l'entreprise basés sur différents sites). Par ailleurs, 47% des sondés utilisent des outils collaboratifs (pour travailler avec au moins deux personnes) de façon quotidienne.

Quels sont les outils les plus utilisés pour travailler avec quelqu'un en dehors de l'entreprise ? Le téléphone (80% des usages), les courriels (68%) et le partage de documents (48%) sont les méthodes les plus couramment utilisées. Les avantages de ces outils sont évidents : rapidité et efficacité (70%), réduction du papier (62%), amélioration du partage des infos et des idées (56%)...

L'usage des outils collaboratifs classiques se situe néanmoins bien loin devant les outils plus récents et pourtant plus efficaces : seulement 15% des salariés interrogés utilisent la messagerie instantanée, 13% la visioconférence et 10% les conférences Web.
(lire la suite de l'article)

mercredi 28 janvier 2009

Un Livre vert sur les réseaux sociaux

Un Livre vert sur les réseaux sociaux

Publiée le 28 jan 2009Tags : Social networking, Web 2.0.

Par Fabrice MOLINARO

Le site GreenIvory propose un Livre Vert sur l'impact des réseaux sociaux dans le monde de l’entreprise. Réalisé par Jean-Georges Perrin, Jean-Bruno Guerra (CEEI Alsace), Arnaud Kehren (ADEC) et Christophe Thil (BlueBoat), ce document s'intéresse à la dimension historique, aux enjeux, aux besoins, aux tentations, aux solutions et aux facteurs clés de réussite.

Dans l'introduction du Livre Vert, l'importance stratégique des réseaux sociaux est évoqué en ces termes : "Notre fil conducteur sera le récent succès de Barack Obama à la présidence des Etats-Unis. Basée sur ces médias sociaux, sa stratégie a contribué à son élection. Les journalistes écrivent désormais qu’Obama est le premier président à avoir été élu grâce à un réseau social. Les réseaux sociaux permettent d’interconnecter des hommes, des femmes ou des organisations. L’existence des réseaux n’est pas récente, le terme datant de 1954. D’autres théories, mettent en oeuvre les degrés de séparation entre les individus ou encore la recherche de soi. On touche à un phénomène social, qui, désormais est incroyablement boosté par le web à l’échelle de la planète. Nous reviendrons aussi sur l’histoire du web. Alors qu’aujourd’hui, nous parlons de Web 2.0, nous expliquerons l’évolution du web du début des années 1990 à nos jours. Votre entreprise (ou collectivité, association, groupe..) va y trouver de nombreux avantages économiques : création d’une base de clients, partenaires et fournisseurs plus fiable, maillée, s’informant, se recommandant… Votre organisation va créer une communauté autour de ses produits et ses services. Cette communauté pourra être impliquée dans le co-développement de vos projets. Un réseau social va avoir des impacts sur votre stratégie de management, sur votre capacité à retenir un savoir, à développer une intelligence collective."

Comme l'expliquent très bien les auteurs de ce document, le réseau social, ce n'est pas que de la technologie. Le facteur humain y joue un rôle important. Cela rejoint totalement le discours des Infostratèges qui ont toujours mise en garde contre le "tout-technologique". Que ce soit dans la recherche d'information, la veille, la gestion de son e-réputation (réputation numérique, cyber-réputation, web-réputation...) ou le développement de réseaux sociaux, l'élément humain reste un référent essentiel.

Accéder au document : www.greenivory.fr/index.php?option=com_performs&formid=1

Des lecteurs de documents, de magazines et de livres numériques

Des lecteurs de documents, de magazines et de livres numériques
François Picard -17/12/2008

INNOVATION Un rapport, un magazine, un livre dont on ne transporte qu'une page, mais dont le contenu se renouvelle au fil de la lecture, ce sera une réalité dès 2009 grâce aux modules d'affichage flexibles à matrice active de Plastic Logic et à d'autres innovations qui s'en viennent.

ereader
Une bibliothèque qui tient dans la main, voilà ce que promettent les lecteurs de livres électroniques.
Depuis quelques années, on trouvait déjà sur le marché plusieurs lecteurs de documents électroniques, mais relativement fragiles, limités en taille et en fonctionnalités. Cela va cependant changer rapidement grâce à une innovation technologique qui trouve son origine à l'Université de Cambridge et qu'a développée la firme Plastic Logic au cours des derniers mois.

Le procédé mis au point par cette firme permet de créer toutes sortes de nouveaux systèmes de lecture sur une pellicule de plastique fine, légère et robuste qui donne l'apparence de lire sur du papier. C'est une véritable révolution dans le domaine de l'imprimé et cela plaît beaucoup aux environnementalistes.

Le Plastic Logic Reader

Beaucoup de gens ne trouvent pas pratique d'avoir à lire des magazines et des livres sur un écran d'ordinateur, surtout sur les écrans larges de format 16/10 qu'on fait maintenant et qui donnent beaucoup moins de hauteur de lecture. Au moins, auparavant, on pouvait utiliser les écrans à cristaux liquides 4/3 placés verticalement et les pages de livres ou de magazines en PDF apparaissaient plein écran et étaient faciles à lire. Jusqu'à présent, l'alternative était des lecteurs de livres électroniques (e-books) à écran en verre, mais fragiles et de petite taille. Ce qui s'en vient est beaucoup plus intéressant.

Au salon DEMOfall 08, puis au salon IDTechEx : Printed Electronics USA, la firme Plastic Logic a présenté un dispositif de lecture électronique à écran en plastique qui cible d'abord les entreprises et les bibliothèques, mais se tournera rapidement vers le grand public. Il sera sur le marché d'ici juin prochain et l'on s'attend déjà à ce que cette industrie des lecteurs électroniques explose en 2009 avec beaucoup d'autres modèles. L'appareil de Plastic Logic aura assez de mémoire pour pouvoir stocker des milliers de livres, de magazines ou de documents divers. On pourra ainsi avoir l'équivalent d'une bibliothèque complète dans un appareil de la grosseur des tablettes de papier de format 8,5 po x 11 po qu'on utilise souvent pour prendre des notes.

Plastic Logic Reader

Le Plastic Logic Reader a seulement 7 mm d'épaisseur et pèse moins de 500 g.

Le Plastic Logic Reader est de la taille d'une feuille de format lettre (8,5 x 11) avec un écran pleine page. Il a seulement 7 mm d'épaisseur et il pèse moins de 500 grammes. Le logiciel intégré prend en charge les formats Word, Excel, PowerPoint, PDF et plusieurs autres. Il permet de lire la plupart des livres, journaux et magazines déjà publiés en version électronique et d'y ajouter des annotations. Il comporte une interface utilisateur à reconnaissance gestuelle et des outils logiciels qui permettent de gérer facilement les documents que contient l'appareil ainsi que ceux auxquels on accède sur d'autres ordinateurs par lien USB ou par Wi-Fi. Certains des appareils autonomes créés par la compagnie disposeront en effet d'un accès Internet sans fil leur permettant de renouveler leur contenu alors que d'autres contiendront dans leur mémoire le texte et les images de toutes sortes de documents qu'ils feront apparaître page par page.

Selon le fabricant, le prix du lecteur de Plastic Logic sera annoncé au moment de la sortie du produit, mais il devrait être compétitif.

Wikipedia : les règles d'édition pourraient se durcir Actualité --- Silicon.fr ---

Wikipedia : les règles d'édition pourraient se durcir

28-01-2009

Par la redaction
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Dorénavant, pour publier ou modifier un article, rester anonyme ne sera plus possible. De plus, il faudra recevoir l’approbation d’un membre plus ancien
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Wikipedia, la plus grande encyclopédie collaborative du monde, met un tour de vis. En effet, selon une information de l’AFP, Jimmy Wales, co-fondateur de l’encyclopédie en ligne a décidé de durcir les règles de contribution après que deux sénateurs américains (dont Ted Kennedy, malade d'un cancer), bien vivants, ont été déclarés morts dans les articles qui les mentionnaient.

Le principe de l’encyclopédie est simple. Tout contributeur peut créer ou modifier un contenu. Ce dernier, passe par différents filtres (lecteurs volontaires, robots) avant d’être validé. Le processus reste toutefois faillible, d’où la décision de Jimmy Wales.

Selon cette nouvelle disposition, baptisée ‘flagged revisions’ (modifications vérifiées) , il sera désormais impossible à un utilisateur anonyme ou une personne utilisant l’encyclopédie pour la première fois de modifier un article, sans l’approbation d’un utilisateur "digne de confiance". La mesure, soumise à un groupe de votants virtuel, a été adoptée par 60% des participants. Jimmy Wales espère ainsi limiter les actes de vandalisme sur les pages de l'encyclopédie.

Cette nouvelle initiative a toutefois provoqué de vives réactions parmi les utilisateurs. Pour beaucoup, les 'flagged revisions' contreviennent aux règles de liberté à l’origine du succès de Wikipedia. Jimmy Wales leur a accordé deux semaines pour fournir une contre-proposition.

Wikpedia, reste à ce jour l’un des sites les plus visités de la planète. Le site affiche 100 millions de visiteurs mensuels.

mardi 27 janvier 2009

L'Encyclopædia Britannica s'ouvre aux internautes - Actualité techno - Internet

ACTUALITÉ TECHNO Retour à l'index des articles

lundi 26 janvier 2009 à 7H48
L'Encyclopædia Britannica s'ouvre aux internautes

Encyclopaedia_Britannica.jpgL'éditeur de l'Encyclopædia Britannica désire donner une place plus importante aux internautes dans la version en ligne de son encyclopédie, sans toutefois opter pour un modèle ouvert comme celui de Wikipédia.

L'Encyclopaedia Britannica a présenté cette semaine son nouveau plan afin de permettre à des experts et certains internautes de contribuer à la rédaction des articles encyclopédiques de sa version en ligne. La célèbre encyclopédie britannique est présentement offerte sur Internet en version bêta, en attendant que soit dévoilée la version finale du projet.

Selon le nouveau plan, les experts et les internautes sélectionnés pourront participer plus fréquemment à l'élaboration des articles de l'encyclopédie. Les articles écrits ou modifiés par les internautes seront cependant identifiés dans une catégorie séparée de ceux qui sont approuvés par le comité de rédaction de l'encyclopédie.

« Nous croyons que le partage des connaissances est un processus de collaboration, sans pour autant en être un purement démocratique, écrit Jorge Cauz, le président d'Encyclopaedia Britannica. Nous ne voulons surtout pas nous défiler quant à notre responsabilité d'éditeurs de l'encyclopédie, ni de l'enterrer sous ce qu'on peut appeler la sagesse populaire », poursuit-il.

Rappelons que Jimmy Wales, le fondateur de Wikipédia, envisage de son côté la création d'une nouvelle politique éditoriale plus sévère pour son encyclopédie en ligne. Jimmy Wales n'aurait particulièrement pas apprécié que des internautes écrivent faussement dans Wikipédia que les sénateurs Ted Kennedy et Robert Byrd étaient décédés durant l'assermentation du nouveau président américain, Barack Obama.
Étiquettes: Encyclopædia Britannica , encyclopédie , Jimmy Wales , Wikipedia
par Christian Leduc

mardi 20 janvier 2009

Le gouvernement veut encadrer le Web 2.0 Actualité --- Silicon.fr ---

Trois ministres et un expert. Une équipe de choc pour trouver de nouvelles solutions concrètes pour la diffusion d’œuvres culturelles. Mission Impossible ?
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Le gouvernement cherche des solutions sur la diffusion de contenus culturels sur les sites Web 2.0. Un dossier de taille et une mission qui se place dans la logique de l’adoption de la loi Création et Internet, pourtant encore débattue et soumise au vote fin février-début mars, sur la création de nouvelles plates-formes de mises à disposition de contenus.

Christine Albanel, ministre de la Culture, Luc Chatel, actuel secrétaire d’Etat chargé de l’Industrie et de la Consommation, et Nathalie Kosciusko-Morizet, la toute récente secrétaire d’Etat à l’Economie numérique ont décidé de rendre un rapport dont la première mouture sera divulguée le 30 avril.

Dans cette tâche, ils ont chargé le professeur Pierre Sirinelli, président de l’AFPIDA (Association pour la protection internationale du droit d’auteur), de se concerter avec tous les acteurs du numérique. Sa mission : favoriser la diffusion des oeuvres culturelles sur le sites dits de Web 2.0 tout en restant dans les "cases" du respect des droits de propriété intellectuelle.

Des propositions devraient voir le jour le 30 juin, on devrait alors être bien loin de l’agitation autour de la loi Création et Internet. Mais ces idées devraient tourner autour d’une "charte par laquelle les acteurs du Web 2.0 et les différents titulaires de droits pourraient s’engager à évaluer, à choisir et généraliser, les technologies de marquage et de reconnaissance numérique des contenus". Surveillance et filtrage risquent donc être au rendez-vous ce qui risque d'irriter quelque peu les géants du Web 2.0.

De même, pourrait être officialisé un répertoire national des oeuvres protégées. Sorte d’inventaire (recoupables avec ceux des majors ?) des titres pour lesquels les administrateurs des sites seront responsables.

Des positions qui ont vocation à encourager les innovations et de nouvelles plates-formes légales voire gratuites mais qui risquent de s’opposer à la facilité à laquelle il est aujourd’hui possible de poster du contenu sur le Net. YouTube et MySpace en sont les traductions. Comment contrôler ce qui est devenu pour bon nombre d’internautes, une habitude ?
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