mercredi 28 janvier 2009

Un Livre vert sur les réseaux sociaux

Un Livre vert sur les réseaux sociaux

Publiée le 28 jan 2009Tags : Social networking, Web 2.0.

Par Fabrice MOLINARO

Le site GreenIvory propose un Livre Vert sur l'impact des réseaux sociaux dans le monde de l’entreprise. Réalisé par Jean-Georges Perrin, Jean-Bruno Guerra (CEEI Alsace), Arnaud Kehren (ADEC) et Christophe Thil (BlueBoat), ce document s'intéresse à la dimension historique, aux enjeux, aux besoins, aux tentations, aux solutions et aux facteurs clés de réussite.

Dans l'introduction du Livre Vert, l'importance stratégique des réseaux sociaux est évoqué en ces termes : "Notre fil conducteur sera le récent succès de Barack Obama à la présidence des Etats-Unis. Basée sur ces médias sociaux, sa stratégie a contribué à son élection. Les journalistes écrivent désormais qu’Obama est le premier président à avoir été élu grâce à un réseau social. Les réseaux sociaux permettent d’interconnecter des hommes, des femmes ou des organisations. L’existence des réseaux n’est pas récente, le terme datant de 1954. D’autres théories, mettent en oeuvre les degrés de séparation entre les individus ou encore la recherche de soi. On touche à un phénomène social, qui, désormais est incroyablement boosté par le web à l’échelle de la planète. Nous reviendrons aussi sur l’histoire du web. Alors qu’aujourd’hui, nous parlons de Web 2.0, nous expliquerons l’évolution du web du début des années 1990 à nos jours. Votre entreprise (ou collectivité, association, groupe..) va y trouver de nombreux avantages économiques : création d’une base de clients, partenaires et fournisseurs plus fiable, maillée, s’informant, se recommandant… Votre organisation va créer une communauté autour de ses produits et ses services. Cette communauté pourra être impliquée dans le co-développement de vos projets. Un réseau social va avoir des impacts sur votre stratégie de management, sur votre capacité à retenir un savoir, à développer une intelligence collective."

Comme l'expliquent très bien les auteurs de ce document, le réseau social, ce n'est pas que de la technologie. Le facteur humain y joue un rôle important. Cela rejoint totalement le discours des Infostratèges qui ont toujours mise en garde contre le "tout-technologique". Que ce soit dans la recherche d'information, la veille, la gestion de son e-réputation (réputation numérique, cyber-réputation, web-réputation...) ou le développement de réseaux sociaux, l'élément humain reste un référent essentiel.

Accéder au document : www.greenivory.fr/index.php?option=com_performs&formid=1

Des lecteurs de documents, de magazines et de livres numériques

Des lecteurs de documents, de magazines et de livres numériques
François Picard -17/12/2008

INNOVATION Un rapport, un magazine, un livre dont on ne transporte qu'une page, mais dont le contenu se renouvelle au fil de la lecture, ce sera une réalité dès 2009 grâce aux modules d'affichage flexibles à matrice active de Plastic Logic et à d'autres innovations qui s'en viennent.

ereader
Une bibliothèque qui tient dans la main, voilà ce que promettent les lecteurs de livres électroniques.
Depuis quelques années, on trouvait déjà sur le marché plusieurs lecteurs de documents électroniques, mais relativement fragiles, limités en taille et en fonctionnalités. Cela va cependant changer rapidement grâce à une innovation technologique qui trouve son origine à l'Université de Cambridge et qu'a développée la firme Plastic Logic au cours des derniers mois.

Le procédé mis au point par cette firme permet de créer toutes sortes de nouveaux systèmes de lecture sur une pellicule de plastique fine, légère et robuste qui donne l'apparence de lire sur du papier. C'est une véritable révolution dans le domaine de l'imprimé et cela plaît beaucoup aux environnementalistes.

Le Plastic Logic Reader

Beaucoup de gens ne trouvent pas pratique d'avoir à lire des magazines et des livres sur un écran d'ordinateur, surtout sur les écrans larges de format 16/10 qu'on fait maintenant et qui donnent beaucoup moins de hauteur de lecture. Au moins, auparavant, on pouvait utiliser les écrans à cristaux liquides 4/3 placés verticalement et les pages de livres ou de magazines en PDF apparaissaient plein écran et étaient faciles à lire. Jusqu'à présent, l'alternative était des lecteurs de livres électroniques (e-books) à écran en verre, mais fragiles et de petite taille. Ce qui s'en vient est beaucoup plus intéressant.

Au salon DEMOfall 08, puis au salon IDTechEx : Printed Electronics USA, la firme Plastic Logic a présenté un dispositif de lecture électronique à écran en plastique qui cible d'abord les entreprises et les bibliothèques, mais se tournera rapidement vers le grand public. Il sera sur le marché d'ici juin prochain et l'on s'attend déjà à ce que cette industrie des lecteurs électroniques explose en 2009 avec beaucoup d'autres modèles. L'appareil de Plastic Logic aura assez de mémoire pour pouvoir stocker des milliers de livres, de magazines ou de documents divers. On pourra ainsi avoir l'équivalent d'une bibliothèque complète dans un appareil de la grosseur des tablettes de papier de format 8,5 po x 11 po qu'on utilise souvent pour prendre des notes.

Plastic Logic Reader

Le Plastic Logic Reader a seulement 7 mm d'épaisseur et pèse moins de 500 g.

Le Plastic Logic Reader est de la taille d'une feuille de format lettre (8,5 x 11) avec un écran pleine page. Il a seulement 7 mm d'épaisseur et il pèse moins de 500 grammes. Le logiciel intégré prend en charge les formats Word, Excel, PowerPoint, PDF et plusieurs autres. Il permet de lire la plupart des livres, journaux et magazines déjà publiés en version électronique et d'y ajouter des annotations. Il comporte une interface utilisateur à reconnaissance gestuelle et des outils logiciels qui permettent de gérer facilement les documents que contient l'appareil ainsi que ceux auxquels on accède sur d'autres ordinateurs par lien USB ou par Wi-Fi. Certains des appareils autonomes créés par la compagnie disposeront en effet d'un accès Internet sans fil leur permettant de renouveler leur contenu alors que d'autres contiendront dans leur mémoire le texte et les images de toutes sortes de documents qu'ils feront apparaître page par page.

Selon le fabricant, le prix du lecteur de Plastic Logic sera annoncé au moment de la sortie du produit, mais il devrait être compétitif.

Wikipedia : les règles d'édition pourraient se durcir Actualité --- Silicon.fr ---

Wikipedia : les règles d'édition pourraient se durcir

28-01-2009

Par la redaction
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Dorénavant, pour publier ou modifier un article, rester anonyme ne sera plus possible. De plus, il faudra recevoir l’approbation d’un membre plus ancien
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Wikipedia, la plus grande encyclopédie collaborative du monde, met un tour de vis. En effet, selon une information de l’AFP, Jimmy Wales, co-fondateur de l’encyclopédie en ligne a décidé de durcir les règles de contribution après que deux sénateurs américains (dont Ted Kennedy, malade d'un cancer), bien vivants, ont été déclarés morts dans les articles qui les mentionnaient.

Le principe de l’encyclopédie est simple. Tout contributeur peut créer ou modifier un contenu. Ce dernier, passe par différents filtres (lecteurs volontaires, robots) avant d’être validé. Le processus reste toutefois faillible, d’où la décision de Jimmy Wales.

Selon cette nouvelle disposition, baptisée ‘flagged revisions’ (modifications vérifiées) , il sera désormais impossible à un utilisateur anonyme ou une personne utilisant l’encyclopédie pour la première fois de modifier un article, sans l’approbation d’un utilisateur "digne de confiance". La mesure, soumise à un groupe de votants virtuel, a été adoptée par 60% des participants. Jimmy Wales espère ainsi limiter les actes de vandalisme sur les pages de l'encyclopédie.

Cette nouvelle initiative a toutefois provoqué de vives réactions parmi les utilisateurs. Pour beaucoup, les 'flagged revisions' contreviennent aux règles de liberté à l’origine du succès de Wikipedia. Jimmy Wales leur a accordé deux semaines pour fournir une contre-proposition.

Wikpedia, reste à ce jour l’un des sites les plus visités de la planète. Le site affiche 100 millions de visiteurs mensuels.

mardi 27 janvier 2009

L'Encyclopædia Britannica s'ouvre aux internautes - Actualité techno - Internet

ACTUALITÉ TECHNO Retour à l'index des articles

lundi 26 janvier 2009 à 7H48
L'Encyclopædia Britannica s'ouvre aux internautes

Encyclopaedia_Britannica.jpgL'éditeur de l'Encyclopædia Britannica désire donner une place plus importante aux internautes dans la version en ligne de son encyclopédie, sans toutefois opter pour un modèle ouvert comme celui de Wikipédia.

L'Encyclopaedia Britannica a présenté cette semaine son nouveau plan afin de permettre à des experts et certains internautes de contribuer à la rédaction des articles encyclopédiques de sa version en ligne. La célèbre encyclopédie britannique est présentement offerte sur Internet en version bêta, en attendant que soit dévoilée la version finale du projet.

Selon le nouveau plan, les experts et les internautes sélectionnés pourront participer plus fréquemment à l'élaboration des articles de l'encyclopédie. Les articles écrits ou modifiés par les internautes seront cependant identifiés dans une catégorie séparée de ceux qui sont approuvés par le comité de rédaction de l'encyclopédie.

« Nous croyons que le partage des connaissances est un processus de collaboration, sans pour autant en être un purement démocratique, écrit Jorge Cauz, le président d'Encyclopaedia Britannica. Nous ne voulons surtout pas nous défiler quant à notre responsabilité d'éditeurs de l'encyclopédie, ni de l'enterrer sous ce qu'on peut appeler la sagesse populaire », poursuit-il.

Rappelons que Jimmy Wales, le fondateur de Wikipédia, envisage de son côté la création d'une nouvelle politique éditoriale plus sévère pour son encyclopédie en ligne. Jimmy Wales n'aurait particulièrement pas apprécié que des internautes écrivent faussement dans Wikipédia que les sénateurs Ted Kennedy et Robert Byrd étaient décédés durant l'assermentation du nouveau président américain, Barack Obama.
Étiquettes: Encyclopædia Britannica , encyclopédie , Jimmy Wales , Wikipedia
par Christian Leduc

mardi 20 janvier 2009

Le gouvernement veut encadrer le Web 2.0 Actualité --- Silicon.fr ---

Trois ministres et un expert. Une équipe de choc pour trouver de nouvelles solutions concrètes pour la diffusion d’œuvres culturelles. Mission Impossible ?
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Le gouvernement cherche des solutions sur la diffusion de contenus culturels sur les sites Web 2.0. Un dossier de taille et une mission qui se place dans la logique de l’adoption de la loi Création et Internet, pourtant encore débattue et soumise au vote fin février-début mars, sur la création de nouvelles plates-formes de mises à disposition de contenus.

Christine Albanel, ministre de la Culture, Luc Chatel, actuel secrétaire d’Etat chargé de l’Industrie et de la Consommation, et Nathalie Kosciusko-Morizet, la toute récente secrétaire d’Etat à l’Economie numérique ont décidé de rendre un rapport dont la première mouture sera divulguée le 30 avril.

Dans cette tâche, ils ont chargé le professeur Pierre Sirinelli, président de l’AFPIDA (Association pour la protection internationale du droit d’auteur), de se concerter avec tous les acteurs du numérique. Sa mission : favoriser la diffusion des oeuvres culturelles sur le sites dits de Web 2.0 tout en restant dans les "cases" du respect des droits de propriété intellectuelle.

Des propositions devraient voir le jour le 30 juin, on devrait alors être bien loin de l’agitation autour de la loi Création et Internet. Mais ces idées devraient tourner autour d’une "charte par laquelle les acteurs du Web 2.0 et les différents titulaires de droits pourraient s’engager à évaluer, à choisir et généraliser, les technologies de marquage et de reconnaissance numérique des contenus". Surveillance et filtrage risquent donc être au rendez-vous ce qui risque d'irriter quelque peu les géants du Web 2.0.

De même, pourrait être officialisé un répertoire national des oeuvres protégées. Sorte d’inventaire (recoupables avec ceux des majors ?) des titres pour lesquels les administrateurs des sites seront responsables.

Des positions qui ont vocation à encourager les innovations et de nouvelles plates-formes légales voire gratuites mais qui risquent de s’opposer à la facilité à laquelle il est aujourd’hui possible de poster du contenu sur le Net. YouTube et MySpace en sont les traductions. Comment contrôler ce qui est devenu pour bon nombre d’internautes, une habitude ?
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