mardi 23 septembre 2008

À QUAND LE MAGASINAGE SOCIAL (SOCIAL SHOPPING) AU QUéBEC ? - BLOGUE sur le référencement, blog, À quand le magasinage social (social shopping) au Québec ? - conseil

Considérée comme la 2ième étape de l’évolution des réseaux sociaux, le magasinage social (social shopping) a un potentiel énorme ! En effet, on compte à ce jour selon le magazine Direction informatique de juin 2008, 100 000 réseaux sociaux de par le monde desservant plus de 350 millions d’utilisateurs.

Mais qu’est-ce que le magasinage social ? On peut définir le magasinage social (social shopping) comme l’établissement de réseaux planétaires de consommateurs qui se réfèrent des aubaines et s’échangent des conseils de consommation. C’est donc une expérience qui combine les deux activités préférées des internautes après la « recherche sur les moteurs », c’est-à-dire le magasinage et le réseautage.

Le « social shopping » est définitivement une nouvelle catégorie de e-commerce. On le retrouve donc principalement aux États-Unis. Parmi les sites les plus populaires notons Kaboodle.com, Wits.com et StyleHive.com qui se spécialise dans la mode féminine.


Au Québec, OneBigPlanet, une entreprise de Montréal, offre une solution adaptée à la clientèle corporative en offrant sa plateforme de commerce et de fidélisation aux associations et aux organisations. Ces dernières offrent à leur tour le service à leurs membres. On a donc une valeur ajoutée qui semble plaire beaucoup. Malheureusement pour nous, l’entreprise n’offre pas encore le service en français au Québec.

Il n’en reste pas moins que l’outil est intéressant car il permet à l’utilisateur d’avoir les meilleures aubaines qui correspondent à son profil et ce, en temps réel. Un logiciel de « business intelligence » enrichit le profil du membre au fur à mesure de ses habitudes de navigation sur le portail.

Du point de vue du référenceur (SEO), les outils de Web 2.0 restent toujours intéressants à explorer. Bien sûr, dans le cas de plateforme comme OneBigPlanet c’est l’effet de longue traîne (long tail) plus que le référencement dynamique qui nous attire, car le volume aidant, cela constituerait certainement une variante atypique sur des niches spécialisées. Je pense à des comparatifs avec des cas d’école comme Ebay largement décrit par Chris Anderson.


D’ailleurs, en terminant, il est bon de se rappeler que le magasinage social est vraiment pris au sérieux par les joueurs majeurs d’Internet. A titre d’exemple rappelons-nous simplement le lancement par Ebay en octobre 2007 sous l’appellation « ebay Neighborhoods » de près de 600 micro-réseaux sociaux destinés à capter au bond cette tendance forte.

vendredi 12 septembre 2008

Bibliobsession 2.0 » EXIGEONS de nos prestataires des fonctionnalités 2.0 sur nos OPAC!

Parce que c’est nous, bibliothécaires, qui devons dire à nos prestataires ce que nous voulons et surtout pas l’inverse, parce qu’ils ont des intérêts commerciaux à nous vendre du “2.0 propriétaire”, à réinventer la poudre en fournissant des CMS fermés ou à aller tellement lentement qu’ils contribuent largement à renforcer l’inertie de nos organisations, je relaie ici l’excellente idée de Laurent de Jvbib cet été.

Participez sur Bibliopedia, le wikipedia de la bibliosphère, à l’élaboration collective du cahier des charges du site de bibliothèque et de l’opac de vos rêves!

L’idée de cette page est de recenser tout ce qu’on attend aujourd’hui d’un site de bibliothèque, et en particulier de la partie opac. On peut bien sûr se baser sur ce qui existe déjà, mais sans s’y limiter.

Quelques exemples d’idées pour l’instant :

* Sous chaque document peuvent s’afficher les avis et chroniques publiés sur d’autres sites (amazon/allociné, autres bibliothèques)
* C’est l’utilisateur qui choisit parmi celles proposées quelles sources il souhaite afficher sous les notices.
* Chaque notice dispose d’une url fixe , et lisible
* Chaque exemplaire dispose d’un flux RSS sur son état

TrixieTracker : le bébé 2.0 | InternetActu.net

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TrixieTracker : le bébé 2.0

Par Hubert Guillaud le 10/09/08 | 5 commentaires | Page vue 652 fois

exemple de données recueillies sur un enfant avec Trixie TrackerJill Walker, professeur à l’université de Bergen en Norvège, chercheuse au Département de Linguistique, littérature et études esthétiques, auteur de Blogger, un livre qui analyse le phénomène, et blogueuse, concentre ses dernières recherches sur sur la façon dont les gens racontent des histoires en ligne. Jeune maman depuis quelques mois, elle vient de s’inscrire à TrixieTracker, un calendrier en ligne pour surveiller le comportement de son bébé qui permet de noter la durée de ses plages de sommeil, son alimentation, son développement… Et bien sûr, de les comparer avec les données en provenance des parents d’autres bébés.

Cela ne fait pas suffisamment longtemps qu’elle utilise le système pour qu’il soit parlant, mais pour des parents qui l’utilisent depuis plus longtemps, comme les parents d’Izzy (voire les données récoltées sur l’enfant), ces nouvelles statistiques sur la vie de son enfant apportent leur lot de nouvelles informations. Elles parviennent même à répondre à des questions que l’inquiétude fait naître : cette mère, qui a utilisé le service pendant un an s’en est ainsi servi pour avoir un sentiment de contrôle sur le développement de son enfant, même si celui-ci n’a jamais eu d’activités régulières dans son emploi du temps, par rapport à de nombreux autres enfants qui dorment et mangent à heures fixes.

L’auteur de Parentonomics, Joshua Gans (blog), qui tente d’appliquer des théories économiques à l’éducation de ses enfants, appelle ce type données que les parents compilent des données orientées par la parentalité de comportement une parentalité orientée par les données. TrixieTracker semble en tout cas un exemple assez parlant des nouveaux types de données que l’utilisation massive du web va faire émerger.

Simply Books - simply Web 2.0 « HeyJude

Simply Books - simply Web 2.0

Since I first started blogging back in 2006, and following the thought leaders in Web 2.0 in education and libraries, I have also tried to encourage school libraries and teacher librarians to become leaders who develop a Creative approach to Web 2.0 Learning.

From very early on I have been inspired in Library 2.0 thinking by Michael Stephens, Joyce Valenza, Kathryn Greenhill, and our own teacher librarians, like Jenny Luca, Frances Manning, and all the other wonderful thought leaders listed in my Lib Bloggers collection.

So back in my own school after my stint as Education Consultant, it was time for me to roll up my sleeves and and get on with it.

As part of our National Literacy and Numeracy week activities, we launched our own Simply Books Website!

With the help of our Second Life friend and fab consultant Jo Kay, we have a very Web 2.0 online presence which is actually blogs, wiki, and much more - branded for St Joseph’s College.

Our focus is to promote reading and good literature, as well as providing links and information about quality approaches to boys reading education!

By sharing our passion for books and reading, it is our mission is to transform boys into lifelong readers.

Simply Books blog promotes our library’s work! Students Say blog promotes the kids work! Simply Books Wiki stores information, promotes our main activities, and will also be the home of our online Readers Club so that parents can join in with book discussions - lots of our families are anywhere but in Sydney as we are a boarding school!

Best of all, we are blending lots of Web 2.0 tools - Flickr, Delicious, Twitter are active and linked to the site - soon to be added is our own SimplyBooks YouTube channel with our first video. Our Library Thing site is still to be developed to promote best reads (easier than sending out reading lists) and much more.

This is the beginning - and our hope is that Simply Books will grow in scope and interactivity in the coming year!!!

jeudi 11 septembre 2008

Savoir exploiter les réseaux sociaux

10/09/2008 - Bien que l'utilité des réseaux sociaux ne soulève plus beaucoup de doutes, les entreprises doivent encore apprendre à en tirer le plein potentiel.

L'avènement des réseaux sociaux dans le monde du travail est annoncé depuis quelque temps déjà. L'année dernière encore, on répétait que 2007 allait marquer le début d'une ère nouvelle en ce sens.

L'immense popularité des communautés en ligne dans la population en général – à lui seul, le site Facebook compterait 8 millions d'adeptes au Canada et 600 000 au Québec – a laissé croire aux analystes de ce début de siècle que les entreprises y trouveraient leur compte tôt ou tard. La prophétie avait du vrai, car on peut dire aujourd'hui que le phénomène jouit d'un certain élan dans le secteur des affaires. En tout cas, son impulsion est telle que l'on en parle maintenant dans les médias grands publics, comme le National Post et le Wall Street Journal.

Au-delà de la simple recherche sur le Web, les réseaux sociaux permettent aux travailleurs de rester en contact avec des collègues ou des spécialistes de l'industrie afin de trouver de nouvelles pistes de vente, des informations sur un sujet pointu ou des occasions de faire progresser leur carrière, par exemple. Ou encore de partager les meilleures pratiques de leur secteur.

Sans surprise, les plus enthousiastes sont les membres de la génération Y. Dans un sondage mené aux États-Unis par ABI Research entre novembre 2007 et juin 2008, les trois quarts des participants accédant à des sites communautaires avaient entre 18 et 30 ans. Une enquête récente, réalisée cette fois par Intelli Survey, indique que 77 % des salariés ayant entre 20 et 29 ans considèrent les aspects sociaux du travail comme un facteur très important quant à la satisfaction vis-à-vis de leur emploi. Autre statistique intéressante, 81 % des membres de la génération Y travaillant en entreprise se sentent « déconnectés » de l'information, des politiques et des possibilités d'avancement au sein de leur organisation.

Voilà quelques-unes des raisons pour lesquelles il existe des sites comme linkedin.com et xing.com, destinés à mettre en contact des professionnels et des membres de réseaux d'entreprise. Dans une proportion écrasante de 86 %, les travailleurs de la génération Y préfèrent s'adresser à des personnes de confiance pour recevoir renseignements et recommandations.

Justement, la raison d'être des réseaux sociaux est de permettre aux gens d'aider les gens, selon les recherches de la multinationale des services-conseils Deloitte. Les participants à une étude menée par cette entreprise estiment que l'efficacité d'une communauté en ligne tient principalement à la possibilité pour les membres d'entrer en contact avec des personnes partageant leurs intérêts. Ils attachent aussi de l'importance à l'entraide entre membres et à la capacité de la communauté de focaliser sur des sujets particuliers.

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